Maman
Si tu savais…
Comme j’aimerai tant t’apporter…
Et même tant te donner…
Toi, qui mérite tant,
Ma petite maman
Effacer aussi ces jours malheureux
D’un revers, ce passé douloureux
Qui ne cesse de te torturer
A jamais
J’aimerai bien dire à l’autre
Les quatre vérités en face
Lui, qui aurait pu se rapprocher
Il a préféré montrer son mauvais coté
Pourtant il est de ton sang
Il a tourné les talons cependant
Il tient hélas du père
Mon pauvre frère
Comme je voudrai te sentir libre
Et vraiment te voir vivre
Tu as tant fait pour nous
Pour moi, tu comptes beaucoup
Je sais tant que cet homme vivra
Tu ne seras jamais entièrement toi
Mais nous, la foi on l’a en nous
Et c’est notre force surtout
Je connais la beauté de ton âme
Tu es une belle dame
Et même si je ne le montre pas
Je suis fière de toi
Parfois on a se chamaille c’est vrai
On n’est pas toujours en accord
Tu oublies souvent que j’ai grandi
Et même que j’ai bien vieilli
Alors si dès fois entre nous
Le conflit des générations s’installe
Vaut mieux parfois dire ce que l’on pense
Que de tirer à jamais sa révérence
Maman, en dépit de mon sacré caractère
Sache que je t’aime beaucoup
Même si la diplomatie n’est pas mon fort
Ton cœur lui c’est bien un trésor
texte protégé le 17/03/17 YR
Si tu savais…
Comme j’aimerai tant t’apporter…
Et même tant te donner…
Toi, qui mérite tant,
Ma petite maman
Effacer aussi ces jours malheureux
D’un revers, ce passé douloureux
Qui ne cesse de te torturer
A jamais
J’aimerai bien dire à l’autre
Les quatre vérités en face
Lui, qui aurait pu se rapprocher
Il a préféré montrer son mauvais coté
Pourtant il est de ton sang
Il a tourné les talons cependant
Il tient hélas du père
Mon pauvre frère
Comme je voudrai te sentir libre
Et vraiment te voir vivre
Tu as tant fait pour nous
Pour moi, tu comptes beaucoup
Je sais tant que cet homme vivra
Tu ne seras jamais entièrement toi
Mais nous, la foi on l’a en nous
Et c’est notre force surtout
Je connais la beauté de ton âme
Tu es une belle dame
Et même si je ne le montre pas
Je suis fière de toi
Parfois on a se chamaille c’est vrai
On n’est pas toujours en accord
Tu oublies souvent que j’ai grandi
Et même que j’ai bien vieilli
Alors si dès fois entre nous
Le conflit des générations s’installe
Vaut mieux parfois dire ce que l’on pense
Que de tirer à jamais sa révérence
Maman, en dépit de mon sacré caractère
Sache que je t’aime beaucoup
Même si la diplomatie n’est pas mon fort
Ton cœur lui c’est bien un trésor
texte protégé le 17/03/17 YR
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