J'ai mal au cœur.
Il se serre, se serre chaque fois que je te vois,
M'étouffe, me submerge, me trouble sans foi ni loi.
J'ai mal au cœur.
Alors, je le griffonne, l'illustre et le noircit
De mon crayon, de mes pensées toutes obscurcies.
Je lui donne sa forme et son allure,
Sans oublier d'y façonner mes blessures.
De mon crayon, de mes pensées toutes obscurcies.
Je lui donne sa forme et son allure,
Sans oublier d'y façonner mes blessures.
De mon sang refoulé, traversant mes veines,
C'est ton prénom qui me prive d'oxygène.
Le cœur brisé par nos mésaventures,
Voilà ce qui se passe quand on laisse tomber l'armure.
C'est ton prénom qui me prive d'oxygène.
Le cœur brisé par nos mésaventures,
Voilà ce qui se passe quand on laisse tomber l'armure.