S
Le cri d'une mère
Dans la brume de soie, tissant pourpre matin
Aux roses vermillons, naissent les jolies reines
Les lys de nuit fervents, d'où par dessous les plaines
Dessinées de baisers, ils dormaient l'air mutin ;
Le soleil renaissant, posa majestueux l'ange
D'un ventre respirant, chantant encore l'aube
Sous l'ode de maman, douce comme fut l'aube
Ce tissu merveilleux, de la douceur des langes ;
C'était hier enfant, restant encor la chair
De mon coeur assombri, de ne pouvoir mon fils
Te serrer contre moi, n'être qu'ancienne chaire ;
T'imaginer sur ce mont, sans aucun artifice
Là tout contre ce sein maternel primerose
Pour que demain enfin, le jour ne soit morose
@iboujo
Dans la brume de soie, tissant pourpre matin
Aux roses vermillons, naissent les jolies reines
Les lys de nuit fervents, d'où par dessous les plaines
Dessinées de baisers, ils dormaient l'air mutin ;
Le soleil renaissant, posa majestueux l'ange
D'un ventre respirant, chantant encore l'aube
Sous l'ode de maman, douce comme fut l'aube
Ce tissu merveilleux, de la douceur des langes ;
C'était hier enfant, restant encor la chair
De mon coeur assombri, de ne pouvoir mon fils
Te serrer contre moi, n'être qu'ancienne chaire ;
T'imaginer sur ce mont, sans aucun artifice
Là tout contre ce sein maternel primerose
Pour que demain enfin, le jour ne soit morose
@iboujo
Dernière édition par un modérateur:
je ne vois pas bien l'écran Lola..
