MA SAISON D'AMOUR.
Ô doux Printemps, tu mets du relief dans ma vie
Le miel de ton souffle transcende mon cœur, je m'offre à toi.
Tu es l'éveil de la nature, la saison des amours, une raison de vie.
Toutes les créatures vivantes t'acclament. Tu es une génèse en soi.
Chacun à sa manière fête ton retour. Les oiseaux en sifflotant
Les fleurs s'épanouissant et les animaux, de leurs refuges sortant.
Toutes les couleurs sont éveillées et pour ta beauté se soumettant.
Un reliquat de nuages se fait timide, ils ont fait leur temps.
Plus rien ne subsiste d'un Hiver à l'agonie.
Les rayons de soleil caressent l'existence d'une brise.
Même la mer brille de mille feu, finie la monotonie.
Tu es revenue, imposée par les cycles que le soleil ne brise.
Antichambre de l'Eté, tu es la plus belle saison de l'An.
Mère de la nature, première dame du temps, je t'aime.
Je veux m'envelopper de toi, le jour concluant.
Laisse-moi être ton ménestrel et pour toi chanter la bohème.
Ô doux Printemps, tu mets du relief dans ma vie
Le miel de ton souffle transcende mon cœur, je m'offre à toi.
Tu es l'éveil de la nature, la saison des amours, une raison de vie.
Toutes les créatures vivantes t'acclament. Tu es une génèse en soi.
Chacun à sa manière fête ton retour. Les oiseaux en sifflotant
Les fleurs s'épanouissant et les animaux, de leurs refuges sortant.
Toutes les couleurs sont éveillées et pour ta beauté se soumettant.
Un reliquat de nuages se fait timide, ils ont fait leur temps.
Plus rien ne subsiste d'un Hiver à l'agonie.
Les rayons de soleil caressent l'existence d'une brise.
Même la mer brille de mille feu, finie la monotonie.
Tu es revenue, imposée par les cycles que le soleil ne brise.
Antichambre de l'Eté, tu es la plus belle saison de l'An.
Mère de la nature, première dame du temps, je t'aime.
Je veux m'envelopper de toi, le jour concluant.
Laisse-moi être ton ménestrel et pour toi chanter la bohème.
