MA FILLE
Ta photo est là sur l’étagère
A prendre lentement la poussière,
Quand mon regard se pose dessus
Mon cœur à un pincement aigu.
Le temps sur la douleur a passé
Sans jamais l’avoir enlevée,
Me reste des pensées qui s’envolent
Qui m’étreignent comme une camisole.
Je maudis ce matin de drame
Qui m’a brûlé jusqu’à l’âme,
Me privant de toi à jamais
Par une maladie que je détestais.
Ton départ est une injuste chose
C’est une douleur qu’on m’impose,
Ma petite fille dans ce drame
Qui m’arrache le cœur et mon âme.
J’ai endossé un manteau de chagrin
Me collant à ma peau qui se plaint,
Avec une peine que se ne sais taire
Je revêts ce triste costume de père.
W.L.
20/09/2016
Ta photo est là sur l’étagère
A prendre lentement la poussière,
Quand mon regard se pose dessus
Mon cœur à un pincement aigu.
Le temps sur la douleur a passé
Sans jamais l’avoir enlevée,
Me reste des pensées qui s’envolent
Qui m’étreignent comme une camisole.
Je maudis ce matin de drame
Qui m’a brûlé jusqu’à l’âme,
Me privant de toi à jamais
Par une maladie que je détestais.
Ton départ est une injuste chose
C’est une douleur qu’on m’impose,
Ma petite fille dans ce drame
Qui m’arrache le cœur et mon âme.
J’ai endossé un manteau de chagrin
Me collant à ma peau qui se plaint,
Avec une peine que se ne sais taire
Je revêts ce triste costume de père.
W.L.
20/09/2016
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