ma
dernière corrida,
Aux envahissantes turpitudes des jouissances passagères, des nuits maudites, d'ivresses sensuelles, des maîtresses insatiables, des
passions noyés de regrets dans des lits baignés de parfums aux intimités suaves.
Des déceptions béantes, des brimades incessantes et pleurs secrets. vint
le temps fertile de la rédemption et des mots doux.
Les vals désertiques aux sillons creusés firent place aux pâturages naissants sur lesquels poussèrent des chênes nouveaux majestueux
verts ou lièges. les douleurs bannies firent place à des rizières aux larges étendues fleuries ou il fut anoblie et nommé roi seigneur et maitre. La quiétude des moments solennels devint raison de vie dans
l'insouciance des convictions nouvelles.
Si ce n’est une invitation fortuite, certainement que ce conte n’aurait raison de vie. Son assurance présomptueuse et décalé
conduit la bête belle et majestueuse, saoule de désir printanier à pénétrer dans l'arène sous les clameurs délirantes des belles esseulées halant à son passage un
regard d'intérêt. Jetant mon dévolu tantôt au levant tantôt au couchant Perdu sous les hourras de la foule et les honneurs
retrouvés.
Congratulant sa verve musclée à la composition savante, chacune y allait de sonsigne particulier à la façon des chalands sur les berges d'un port saluant l'heureux voyageur debout sur le pont d'un navire emmenant les privilégiés vers les exotiques iles du sud.
C'est alors que l'illusion, au firmament étoile, dévoila un astre caché, une perle venu du nord comme son regard n’en avait jamais croisé...
S'en même y pensée, la bête débordante de désir s'élança à corps perdu vers l'insaisissable bonheur, à l'assaut d’utopiques
récifs.
Son élan s’échouait à ces pieds, la gueule dans la poussière et la
langue pâteuse.
Combien de fois ces courses effrénées se répétèrent, nul ne les pris en
compte, prenant à témoin son créateur ces assauts demeurèrent vint. De la voluptueuse ivresse tend recherchée, succédèrent des
regrets amers. Le satisfecit des sens et la lassitude atteint sa sultane conclu à l'apothéose et en fit offrande. Sous les yeux
d'une foule en délire elle sonna le glas de sa raison d’être...
Un poison exquis sur l'autel de la jouissance charnel voluptueux et secret, d'un rythme langoureux sur sa selle de cuir envahit son sang bouillonnant. La fureur de son désir tel un évadé devant une liberté retrouvé jaillit alors que ça pensée se tournait vers sa
perle adorée; et part la même invita la bête à précipiter sa mort annoncée.
À l'horizon déjà le soleil s'estompait, dans un dernier assaut, dans un dernier effort la lucidité lui revint tandis que la froide lame
de la mort s'enfonçait en son corps fatigué d'un combat perdu d'avance.
Alors que la vie se retirait, il se retourna jeta un regard d’incompréhension à son bourreau qui avait fomenté cette diversion pour anticipé une fin entendu, la foule en extase
réclamait son dût.
A genoux, la bête mugit de douleurs, son souffle chaud et l’échine basse, elle abdiquait devant ces illusions et laissait deviner sa
satisfaction d'être finalement sacrifié sur l'hôtel de son amour.
La belle dévoila ces intentions, brandit un poignard et sourire au lèvre, caressa la tête du taureau comme pour dédramatisé le
moment et l'acheva.
Dans son dernier souffle, La bête folle, invoqua son créateur, j'étais
seigneur, maitre et roi dans les rizières avant de finir esclave dans l'arène.
dernière corrida,
Aux envahissantes turpitudes des jouissances passagères, des nuits maudites, d'ivresses sensuelles, des maîtresses insatiables, des
passions noyés de regrets dans des lits baignés de parfums aux intimités suaves.
Des déceptions béantes, des brimades incessantes et pleurs secrets. vint
le temps fertile de la rédemption et des mots doux.
Les vals désertiques aux sillons creusés firent place aux pâturages naissants sur lesquels poussèrent des chênes nouveaux majestueux
verts ou lièges. les douleurs bannies firent place à des rizières aux larges étendues fleuries ou il fut anoblie et nommé roi seigneur et maitre. La quiétude des moments solennels devint raison de vie dans
l'insouciance des convictions nouvelles.
Si ce n’est une invitation fortuite, certainement que ce conte n’aurait raison de vie. Son assurance présomptueuse et décalé
conduit la bête belle et majestueuse, saoule de désir printanier à pénétrer dans l'arène sous les clameurs délirantes des belles esseulées halant à son passage un
regard d'intérêt. Jetant mon dévolu tantôt au levant tantôt au couchant Perdu sous les hourras de la foule et les honneurs
retrouvés.
Congratulant sa verve musclée à la composition savante, chacune y allait de sonsigne particulier à la façon des chalands sur les berges d'un port saluant l'heureux voyageur debout sur le pont d'un navire emmenant les privilégiés vers les exotiques iles du sud.
C'est alors que l'illusion, au firmament étoile, dévoila un astre caché, une perle venu du nord comme son regard n’en avait jamais croisé...
S'en même y pensée, la bête débordante de désir s'élança à corps perdu vers l'insaisissable bonheur, à l'assaut d’utopiques
récifs.
Son élan s’échouait à ces pieds, la gueule dans la poussière et la
langue pâteuse.
Combien de fois ces courses effrénées se répétèrent, nul ne les pris en
compte, prenant à témoin son créateur ces assauts demeurèrent vint. De la voluptueuse ivresse tend recherchée, succédèrent des
regrets amers. Le satisfecit des sens et la lassitude atteint sa sultane conclu à l'apothéose et en fit offrande. Sous les yeux
d'une foule en délire elle sonna le glas de sa raison d’être...
Un poison exquis sur l'autel de la jouissance charnel voluptueux et secret, d'un rythme langoureux sur sa selle de cuir envahit son sang bouillonnant. La fureur de son désir tel un évadé devant une liberté retrouvé jaillit alors que ça pensée se tournait vers sa
perle adorée; et part la même invita la bête à précipiter sa mort annoncée.
À l'horizon déjà le soleil s'estompait, dans un dernier assaut, dans un dernier effort la lucidité lui revint tandis que la froide lame
de la mort s'enfonçait en son corps fatigué d'un combat perdu d'avance.
Alors que la vie se retirait, il se retourna jeta un regard d’incompréhension à son bourreau qui avait fomenté cette diversion pour anticipé une fin entendu, la foule en extase
réclamait son dût.
A genoux, la bête mugit de douleurs, son souffle chaud et l’échine basse, elle abdiquait devant ces illusions et laissait deviner sa
satisfaction d'être finalement sacrifié sur l'hôtel de son amour.
La belle dévoila ces intentions, brandit un poignard et sourire au lèvre, caressa la tête du taureau comme pour dédramatisé le
moment et l'acheva.
Dans son dernier souffle, La bête folle, invoqua son créateur, j'étais
seigneur, maitre et roi dans les rizières avant de finir esclave dans l'arène.
