Le soir tombant, si noir qu’il évoque un sort
Radieuse, la journée des amantes, passe,
Firent pourtant des émois gracieux, mais hélas,
Et notre luth, de par ce vent, tremble bien fort.
Votre lyre est un bourreau choisi,
Qui va charmer, dansant et attirant,
Mimant la flûte et soufflant ainsi,
Tristes nous font, étranges errements.
Un geste, en signe d’un espoir,
Revenant au départ, demoiselle,
Puis s’envole, d’un bruissement d’ailes
Par volonté, vient le beau miroir.
Et quand, malheureux, de voir
Des habits noirs devant soi,
Loi de notre désespoir,
Comme le chien se revoit.
Elle est retrouvée.
Quoi ? La nostalgie.
Qui me rend si gai,
De mélancolie.
Radieuse, la journée des amantes, passe,
Firent pourtant des émois gracieux, mais hélas,
Et notre luth, de par ce vent, tremble bien fort.
Votre lyre est un bourreau choisi,
Qui va charmer, dansant et attirant,
Mimant la flûte et soufflant ainsi,
Tristes nous font, étranges errements.
Un geste, en signe d’un espoir,
Revenant au départ, demoiselle,
Puis s’envole, d’un bruissement d’ailes
Par volonté, vient le beau miroir.
Et quand, malheureux, de voir
Des habits noirs devant soi,
Loi de notre désespoir,
Comme le chien se revoit.
Elle est retrouvée.
Quoi ? La nostalgie.
Qui me rend si gai,
De mélancolie.