Ma corne muse. (d'après l'excuse de Lilasys)
J’ai touillé en rond toutes tes histoires en mémoire,
Rechercher ta maison dans tous mes égards en suite,
Ceux de tout mon humour de gare en fuite,
Te laissant seule face à nos festins, en accessoire.
Epouillée de tes plus beaux secrets, de tes bisous,
Je m’étends aujourd’hui au farniente du farigoule,
Vaquant entre pavés, truelles et escaliers des traboules,
Eperdue d’humour, bégueule des écrits de ma sœur, maboul.
Que ferai-je de tes répits d’odes, en cet amer tournant ?
Le cœur sans grésil, toi, Maman format, t’emportant naguère,
Aidée, étirée en somptuosité de beaux faits que tu ne vois guère,
Ne suis-je pas moi le con attribué à recomposer tous tes romans ?
Dans la lumière de ma chambre, avide d’envies, d’humour,
Où le bien tout rouge ne reste pas une chronique diffusée,
Un poisson pilote à écouler les ronds sans entaille, mais médusé,
Par mes lubies de temps en temps, mais toujours pour le pour.
L’excuse,
J’ai fouillé au fond de mes armoires, mes tiroirs
Chercher la raison de tous ces départs, cette fuite
Celle de tous mes amours sans égards, sans suite
Me laissant seule face à mon destin, au miroir
Dépouillée de mes plus beaux attraits, de mes sous
Je me sens aujourd’hui, une mendiante qui roule
Voguant entre pavés de ruelles, les pieds en ampoules
Perdue d’amour, aveugle au cri de mon cœur saoul
Qu’espérai-je de ces épisodes, de ce triste roman ?
La fleur au fusil, une Maman soldat, partant en guerre
Épaulé, tiré sur la monstruosité de ce que fait cette terre ?
N’ai-je pas moi aussi contribué à façonner ces assommants ?
Dans l’obscurité de ces chambres vides de vie, d’amour
Où rien ne bouge, elles restent un souvenir, un musée
Un poison pour secouer le fond de mes entrailles usées
Par les caprices du temps au temps, du jour au jour ….
LILASYS
J’ai touillé en rond toutes tes histoires en mémoire,
Rechercher ta maison dans tous mes égards en suite,
Ceux de tout mon humour de gare en fuite,
Te laissant seule face à nos festins, en accessoire.
Epouillée de tes plus beaux secrets, de tes bisous,
Je m’étends aujourd’hui au farniente du farigoule,
Vaquant entre pavés, truelles et escaliers des traboules,
Eperdue d’humour, bégueule des écrits de ma sœur, maboul.
Que ferai-je de tes répits d’odes, en cet amer tournant ?
Le cœur sans grésil, toi, Maman format, t’emportant naguère,
Aidée, étirée en somptuosité de beaux faits que tu ne vois guère,
Ne suis-je pas moi le con attribué à recomposer tous tes romans ?
Dans la lumière de ma chambre, avide d’envies, d’humour,
Où le bien tout rouge ne reste pas une chronique diffusée,
Un poisson pilote à écouler les ronds sans entaille, mais médusé,
Par mes lubies de temps en temps, mais toujours pour le pour.
L’excuse,
J’ai fouillé au fond de mes armoires, mes tiroirs
Chercher la raison de tous ces départs, cette fuite
Celle de tous mes amours sans égards, sans suite
Me laissant seule face à mon destin, au miroir
Dépouillée de mes plus beaux attraits, de mes sous
Je me sens aujourd’hui, une mendiante qui roule
Voguant entre pavés de ruelles, les pieds en ampoules
Perdue d’amour, aveugle au cri de mon cœur saoul
Qu’espérai-je de ces épisodes, de ce triste roman ?
La fleur au fusil, une Maman soldat, partant en guerre
Épaulé, tiré sur la monstruosité de ce que fait cette terre ?
N’ai-je pas moi aussi contribué à façonner ces assommants ?
Dans l’obscurité de ces chambres vides de vie, d’amour
Où rien ne bouge, elles restent un souvenir, un musée
Un poison pour secouer le fond de mes entrailles usées
Par les caprices du temps au temps, du jour au jour ….
LILASYS