Hors concours
Luxure...
Luxure, tu avilis l'âme des hommes, enflammes leurs corps,
La débauche est ton jeu favori, pour toi pas de temps morts.
Tu ne connais que l'impudeur et tu crois recéler des trésors,
Mais hélas, la beauté ne côtoie que laideurs, ronge son mors.
Tu te faufiles insidieusement le long de sinistres corridors,
Tu t'affubles de déguisements obscènes et de rouges décors,
Et sur tes adeptes, lâches chaînes et, indignes conquistadors
D'un monde perverti libérant ses bêtes hurlantes tels cadors...
Luxure en tes draps de soie et de satin, se vautrent tes butors
Et tes ensorceleuses habillées de honte, chantant confitéors.
Tes embrasement frisent la désespérance et tous tes quatuors
Se perdent en dérives sur le chemin noir d'indécents records...
Tu peux voiler tes diablesses, les parfumer et les draper d'ors,
Tes virtuoses ne seront jamais des dames et des monsignors,
Compagne des bas-fonds du désamour, vois tes princes consorts !
Ils ont osé ouvrir cette boîte maléfique appartenant à Pandore...
Ils convoitent la chair, l'entraînent comme de cruels alligators
Aux lits infâmes de tes rivières pourpres, où jouent tes matadors...
Prisonniers de pulsions irréversibles au son lugubre de tes cors,
Ils se noient aux fontaines débordantes de tes nabuchodonosor...*
*Nabuchodonosor : bouteille de 15 litres de Champagne
Luxure...
Luxure, tu avilis l'âme des hommes, enflammes leurs corps,
La débauche est ton jeu favori, pour toi pas de temps morts.
Tu ne connais que l'impudeur et tu crois recéler des trésors,
Mais hélas, la beauté ne côtoie que laideurs, ronge son mors.
Tu te faufiles insidieusement le long de sinistres corridors,
Tu t'affubles de déguisements obscènes et de rouges décors,
Et sur tes adeptes, lâches chaînes et, indignes conquistadors
D'un monde perverti libérant ses bêtes hurlantes tels cadors...
Luxure en tes draps de soie et de satin, se vautrent tes butors
Et tes ensorceleuses habillées de honte, chantant confitéors.
Tes embrasement frisent la désespérance et tous tes quatuors
Se perdent en dérives sur le chemin noir d'indécents records...
Tu peux voiler tes diablesses, les parfumer et les draper d'ors,
Tes virtuoses ne seront jamais des dames et des monsignors,
Compagne des bas-fonds du désamour, vois tes princes consorts !
Ils ont osé ouvrir cette boîte maléfique appartenant à Pandore...
Ils convoitent la chair, l'entraînent comme de cruels alligators
Aux lits infâmes de tes rivières pourpres, où jouent tes matadors...
Prisonniers de pulsions irréversibles au son lugubre de tes cors,
Ils se noient aux fontaines débordantes de tes nabuchodonosor...*
*Nabuchodonosor : bouteille de 15 litres de Champagne
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