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L'orient l'essence de la Femme.

ecum

Nouveau poète
#1
Il y a des peuples au passé qui furent
Plus civilisés que les barbares d'aujourd'hui
Où, la femme avait la place de souveraine


L'orient qui vit en moi
L'orient que la nuit a obscurcit
Calomnié de sauvage
Et, qui a bercé tant de civilisation oubliée
D'où est, venu l'amour et tant de chose que l'on peut nier
Il demeure des voies perdues bannies dans le désert
Emportés, par le vent de sable sans murmure
Dans un silence subtil, tel une torture
Je l'écoute, il me conte des récits raffinés
Il en est un parmi les milles de ces nuits, qui coulent de miel
Voici un court passage de mes songes qui résument cet appel
D'un autre temps, d'un autre monde
Inspiré par l'essence de Sherazade.

Des trompettes de cuivre
Annonce ta venue
Dans un palais couvert d' arabesque
Ou l'en croque du regard le fruit interdit
Pas à pas tu danse et cela m'ensorcelle
Ondules ce dilemme passionnel
Dans Une atmosphère de jasmin et d'encens
Ton regard, scintille
Tel un bijoux, un rubis qui flamboie
Sous ce voile rouge enveloppant tout les tabous
Laissant ton regard à nu
Devant mes aboies, sans voix
Ton corps en maître d'orchestre
Mmaître de mon être
Tu fais fuir ces serpents du mépris
Que tu es une Femme
Qui rime avec la vie
La, demi-dieu
La victorieuse, la venimeuse, la vaniteuse
La reine du cercle où gravitent toutes les peurs de l'homme
Tes ombres qu'un feu éclaire
Me laissent juste entrevoir
Le nombril d'un monde
Qu'une chaîne d'or harcèle
Couverte d'huile, ton corps transpire mon appel
Je veux être ton pur sang au galop
Qui décoifferait ton diadème
Dans le vent d'une envie folle d'une oasis charnelle
Ou, je boirai ton eau précieuse
Qui n'étanche que ton plaisir
Je ne suis plus un prince mais un homme
Un mendiant
Ton Aladin
Tu as volé détroussé de son âme
Aucun autre trésor n'est le sésame de ma flamme
Je voudrais tant, croire à la magie, de ce maudit jin
Frotter ! cette lampe en t'avouant mes désirs
Qu'il apparaisse, pour te faire un seul voeu
Celui d'être le souffle de ta chair
Enfin de ton cœur, de ta vie
J'enlace mes mirages d'espérance
Que tu sois ma déesse
Que je délecterai, sous la chaleur de la passion sans nos mots
Dans l' Orient, déserte d'incompris
Aux reliefs de tes formes
Couchées dessinant ces dunes
D'un amour construit en pyramide
Qui durera jusqu'à la fin des temps
Que le sable sans fin, n'enterrera pas.
 
#2
dessinent toi le mendiant sur ma peau tes envies
vois mon voile qui ce dévoile à l'approche de tes cris
sans un soupir juste mes yeux
pour t'envoutais dessine de tes mains les courbes de mes riens mais rien ni fera rien ni changera
je ne serai qu'un mirage une envies de passage...

oups je me suis laisser aller vraiment magnifique
 

iboujo

Maître Poète
#3
Superbe..tu prêches une convaincue
à un détail prés
La Femme méne toujours le Monde...
à méditer..Abel
jojo