Quand l'ombre opaque de la nuit
Sur terre à pas de loup s'avance,
Fatigués, les humains sont pris
D'irresistible somnolence,
Chaque soir ils se réfugient
Dans le repos et le silence.
C'est alors la, que se réveille,
Un monde animal discret,
Qui pendant le jour sommeille
S activant la nuit tombée,
Hors de vue de ceux qui les veillent
Les traquant pour les pourchasser.
Nous entendons des bruits retenus
Des frolements, des pas feutres,
À peine audibles et très tenus,
Que seul le vent peut estomper,
Des fois brillants dans les feuillus
Des yeux perçent l'obscurité.
Venant du fond de la foret
Trouant le calme environnant
Des rapaces font le guet
S'interpellant en huhulant
Les rossignols font vibrer
Leur chant avant le jour naissant...
Sur terre à pas de loup s'avance,
Fatigués, les humains sont pris
D'irresistible somnolence,
Chaque soir ils se réfugient
Dans le repos et le silence.
C'est alors la, que se réveille,
Un monde animal discret,
Qui pendant le jour sommeille
S activant la nuit tombée,
Hors de vue de ceux qui les veillent
Les traquant pour les pourchasser.
Nous entendons des bruits retenus
Des frolements, des pas feutres,
À peine audibles et très tenus,
Que seul le vent peut estomper,
Des fois brillants dans les feuillus
Des yeux perçent l'obscurité.
Venant du fond de la foret
Trouant le calme environnant
Des rapaces font le guet
S'interpellant en huhulant
Les rossignols font vibrer
Leur chant avant le jour naissant...