J'ai accroché mes peurs comme des guirlandes
Suspendues aux éclairs dont le ciel s'illumine
J'en ai fini de ces petites morts sournoises
Qui déclenchent les larmes comme une peau de cercueil
Ainsi, je vais, par amour, me dévêtir
Devant, toi, sans pudeur, de ses frayeurs avides
Tu pourras m'y voir sur un château de cartes
Chambranlante et m'écrouler sur un tas d'illusions
Seras-tu là pour couvrir mes frissons de gloire
Regarder ces lanternes consumées par l'orage?
N'est-il pas vrai qu'une femme est radieuse
Fière, délestée, ronde de liberté
Alors, je te prie, viens assister à ces feux
Qui épurent les grands trous noirs de l'esprit
J'y suis déjà, je n'attends que toi, que toi
Pour brûler vives mes racines amères
[SN1]
Suspendues aux éclairs dont le ciel s'illumine
J'en ai fini de ces petites morts sournoises
Qui déclenchent les larmes comme une peau de cercueil
Ainsi, je vais, par amour, me dévêtir
Devant, toi, sans pudeur, de ses frayeurs avides
Tu pourras m'y voir sur un château de cartes
Chambranlante et m'écrouler sur un tas d'illusions
Seras-tu là pour couvrir mes frissons de gloire
Regarder ces lanternes consumées par l'orage?
N'est-il pas vrai qu'une femme est radieuse
Fière, délestée, ronde de liberté
Alors, je te prie, viens assister à ces feux
Qui épurent les grands trous noirs de l'esprit
J'y suis déjà, je n'attends que toi, que toi
Pour brûler vives mes racines amères
[SN1]