L’olivier !
Ah ! Comme il faisait bon près de mon olivier
L’été, je m’endormais sur le banc sans soulier
Me couvrant des rayons sous son large feuillage
J’écoutais le murmure au souffle de son bois
Les cigales d’un chant parsemant le voyage
Je respirais cet air sous ce tendre princier
La brise qui venait rafraîchir le brasier
Au soleil, la chaleur ne faisait qu’un sillage
J’écoute encor le bruit en cette âme du bois
Il jalonne ma vie et parcourt de ses droits
Précieux à sa terre ici de toute gloire
N’est point ambitieux se pavane cent fois
Offrant sous sa parure une ombre aux vieux Niçois
Et nul ne le malmène ; en sa fraîcheur à boire…
Maria-Dolores
Ah ! Comme il faisait bon près de mon olivier
L’été, je m’endormais sur le banc sans soulier
Me couvrant des rayons sous son large feuillage
J’écoutais le murmure au souffle de son bois
Les cigales d’un chant parsemant le voyage
Je respirais cet air sous ce tendre princier
La brise qui venait rafraîchir le brasier
Au soleil, la chaleur ne faisait qu’un sillage
J’écoute encor le bruit en cette âme du bois
Il jalonne ma vie et parcourt de ses droits
Précieux à sa terre ici de toute gloire
N’est point ambitieux se pavane cent fois
Offrant sous sa parure une ombre aux vieux Niçois
Et nul ne le malmène ; en sa fraîcheur à boire…
Maria-Dolores
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