Tombent des falaises des blocs de rochers moires,
Recouverts d'algues sombres, ça et la échoués,
Courtisans d' une Mer chaotique au chant répète,
Un dialogue incessant, sur des étendues de rivages iodés.
Les eaux s'amusent de leurs notes marines
Sur un beau sable blond aux cheveux crantés,
Le climat parfois dépressif offre et le vent et la pluie glacée,
Le Soleil, aux Portes de l'ouest, Monet illumine
Un fanion vert annonce de radieuses journées,
Incomparables Pastel, de rose bleuté et violet,
En regardant la Mer, les oiseaux sont rassemblés,
Mouettes et cormorans vont quitter la vallée.
Épris par les longs voyages pour assouvir leur vie,
Les villes leurs sont inaccessibles, même ailes étirées,
Crabes, coques, moules, couteaux et bulots se cueillent à midi,
Les crevettes insolente en banc se font filer
La pêche a la première place dans nos ports Français,
Les marins embarquent contre vents et marées,
Harengs, soles, cabillaud feront le déjeuner,
À l'horizon, une plaine immense et plate, cernée de terrils au loin érigés.
Derrière les marais vous irez dans de vastes herbages de près sales,
Les veaux y paissent en gras plaisir, ils produiront le lait
Les ailes migratrices, le gibier d'eau, y vivront en douceur
Loin des huttes à chasseurs ou le clocher sonne leur vilaine heure.
Adieu béton, le brique rose émerge rosée,
Les maisons respirent la chaux l'air y est savoure,
De vieilles quilles retournées sont gîtes pour voyageurs,
Seconde vie pour amateurs , au maritime cœur.
La Mer du Nord houleuse et écumante,
Est une danseuse , dans une opulence,
Distillant des retraits odoyant de reflets,
Mouvance des bleu, des vert et des ocre doré,
Surgit une lumière éblouissante, lyrique,
Montant sur des vagues fantasmagoriques
Hier, l'aurore nait près de la cendre, dans le futur, le fruité accompagne,
Il faut attendre* demain...* Des l'aube..Ou blanchit la campagne****
****Hugo V.
Recouverts d'algues sombres, ça et la échoués,
Courtisans d' une Mer chaotique au chant répète,
Un dialogue incessant, sur des étendues de rivages iodés.
Les eaux s'amusent de leurs notes marines
Sur un beau sable blond aux cheveux crantés,
Le climat parfois dépressif offre et le vent et la pluie glacée,
Le Soleil, aux Portes de l'ouest, Monet illumine
Un fanion vert annonce de radieuses journées,
Incomparables Pastel, de rose bleuté et violet,
En regardant la Mer, les oiseaux sont rassemblés,
Mouettes et cormorans vont quitter la vallée.
Épris par les longs voyages pour assouvir leur vie,
Les villes leurs sont inaccessibles, même ailes étirées,
Crabes, coques, moules, couteaux et bulots se cueillent à midi,
Les crevettes insolente en banc se font filer
La pêche a la première place dans nos ports Français,
Les marins embarquent contre vents et marées,
Harengs, soles, cabillaud feront le déjeuner,
À l'horizon, une plaine immense et plate, cernée de terrils au loin érigés.
Derrière les marais vous irez dans de vastes herbages de près sales,
Les veaux y paissent en gras plaisir, ils produiront le lait
Les ailes migratrices, le gibier d'eau, y vivront en douceur
Loin des huttes à chasseurs ou le clocher sonne leur vilaine heure.
Adieu béton, le brique rose émerge rosée,
Les maisons respirent la chaux l'air y est savoure,
De vieilles quilles retournées sont gîtes pour voyageurs,
Seconde vie pour amateurs , au maritime cœur.
La Mer du Nord houleuse et écumante,
Est une danseuse , dans une opulence,
Distillant des retraits odoyant de reflets,
Mouvance des bleu, des vert et des ocre doré,
Surgit une lumière éblouissante, lyrique,
Montant sur des vagues fantasmagoriques
Hier, l'aurore nait près de la cendre, dans le futur, le fruité accompagne,
Il faut attendre* demain...* Des l'aube..Ou blanchit la campagne****
****Hugo V.
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