Si le froid s'insinue sous la porte
Il faut trouver comment le bloquer.
Toutefois, il nous faut faire en sorte
Une fois pour toute, de ne plus grelotter.
Mais nous faisons des efforts en vain.
A chaque bourrasque le froid revient.
Vraiment sommes nous si vulnérables ?
Alors que nos corps bien palpables
Inventent milles armes fatales
Souvent échouent face à cet air glacial.
Devant le concret, on sait agir
Interceptant bombes et missiles
Toutes les guerres s'achèvent, il faut le dire
La larme à l’œil et l'arme utile.
Alors que l'abstrait, qu'on ne peut voir,
Vilipende nos belles certitudes
Explose tout ce qu'on croyait savoir
Répend une puanteur douteuse.
Il est des faits, hélas non visibles,
Toujours présents et insidieux
Encore et terriblement nuisibles,
Jusqu'à briser des jours radieux.
Existe t-il à ce courant d'air,
Tant utilisé par les plus vils,
Au point qu'ils se sentent forts et fiers,
Une réplique à la puissance 1000
Réussissant à enfin le bloquer ?
Air vicieux et Ô combien trompeur
Insinuant un doute à jamais,
Salissant les promesses de bonheur.
Pourquoi faut-il que la confiance
Aujourd'hui si dure à accorder
Résiste si mal dès que se lancent
Des courants d'air froids pour la briser.
On ne bloque pas le froid sous la porte,
Ni la douleur de s'être trompé.
Ne ferme pas les yeux et sois fort
Evite de croire les "à tout jamais".
Eléa-Myrtille - 09/10/2017
Il faut trouver comment le bloquer.
Toutefois, il nous faut faire en sorte
Une fois pour toute, de ne plus grelotter.
Mais nous faisons des efforts en vain.
A chaque bourrasque le froid revient.
Vraiment sommes nous si vulnérables ?
Alors que nos corps bien palpables
Inventent milles armes fatales
Souvent échouent face à cet air glacial.
Devant le concret, on sait agir
Interceptant bombes et missiles
Toutes les guerres s'achèvent, il faut le dire
La larme à l’œil et l'arme utile.
Alors que l'abstrait, qu'on ne peut voir,
Vilipende nos belles certitudes
Explose tout ce qu'on croyait savoir
Répend une puanteur douteuse.
Il est des faits, hélas non visibles,
Toujours présents et insidieux
Encore et terriblement nuisibles,
Jusqu'à briser des jours radieux.
Existe t-il à ce courant d'air,
Tant utilisé par les plus vils,
Au point qu'ils se sentent forts et fiers,
Une réplique à la puissance 1000
Réussissant à enfin le bloquer ?
Air vicieux et Ô combien trompeur
Insinuant un doute à jamais,
Salissant les promesses de bonheur.
Pourquoi faut-il que la confiance
Aujourd'hui si dure à accorder
Résiste si mal dès que se lancent
Des courants d'air froids pour la briser.
On ne bloque pas le froid sous la porte,
Ni la douleur de s'être trompé.
Ne ferme pas les yeux et sois fort
Evite de croire les "à tout jamais".
Eléa-Myrtille - 09/10/2017