L’infinie beauté des ciels d’azur
Ton visage est mon visage,
je te connais depuis que le monde est monde,
tu me précèdes en tout acte de la Vie,
ô ma Muse, ma Sirène, ma Fée de liesse.
je te connais depuis que le monde est monde,
tu me précèdes en tout acte de la Vie,
ô ma Muse, ma Sirène, ma Fée de liesse.
L’infinie beauté des ciels d’azur
se glisse en robe de présence
entre tes paumes menues,
et sur tes mots gorgés de vraie vie,
se glisse en robe de présence
entre tes paumes menues,
et sur tes mots gorgés de vraie vie,
j’erre, éperdue, dans la traîne des chemins,
je vais de bois en bois
à la découverte de ta magnificence,
et du satin de ta bonté.
je vais de bois en bois
à la découverte de ta magnificence,
et du satin de ta bonté.
Je suis présente à l’eau de tes jours,
le Soleil éclaire l’archipel de ta Lumière,
et me psalmodie des odes de Tendresse
que je te balbutie, éperdue de délicatesse.
le Soleil éclaire l’archipel de ta Lumière,
et me psalmodie des odes de Tendresse
que je te balbutie, éperdue de délicatesse.
Viens vers moi, je t’en conjure,
j’habite l’océan de ta Féminité,
écoute le lierre de mes vers,
ils te diront les cantilènes de mon Amour.
j’habite l’océan de ta Féminité,
écoute le lierre de mes vers,
ils te diront les cantilènes de mon Amour.
J’écris à tout instant en lettres d’air, et de rayons,
la romance des nuages
qui voyagent, libres de toute contrainte,
vers la principauté de tes lèvres.
la romance des nuages
qui voyagent, libres de toute contrainte,
vers la principauté de tes lèvres.
Alors
dirige-toi à jamais en notre clairière,
et d’oasis de félicité
en oasis de mousses et de lichen,
dirige-toi à jamais en notre clairière,
et d’oasis de félicité
en oasis de mousses et de lichen,
mène-moi
jusqu’à la caresse ultime,
et sur les dunes de mes seins,
béatifie-moi !
jusqu’à la caresse ultime,
et sur les dunes de mes seins,
béatifie-moi !
Sophie Rivière