Hiver.
Il pleut aujourd'hui,
Comme hier, il pleut.
Quelle triste monotonie ;
La pluie, les nuages, les deux...
Il n'y a qu'en esprit
Qu'on voit le ciel bleu.
Dehors, il fait froid
A tel point qu'il gel !
En tout cas, je crois...
Pluie et neige se mèlent,
Elles en ont le droit.
Tempête est belle.
Au milieu des volutes
Dans la tempête brute,
Des ombres, sans cesse, butent
dans une si belle lutte.
Puis vient la neige douce.
Qui descent lentement.
Et recouvrela mousse
D'un simple couvert blanc.
Tout est immobile ici.
Ne se ressent aucun vent
En cet endroit livide.
En cet endroit si vide
Il n'y a de mouvement.
Le paysage est sans vie
Sur le lac flotte la glace.
Comme une vraie patinoire ;
Reposant et remarquable.
Ici tout est si semblable.
Un dessin tout de blanc et noir.
La neige douce s'ammasse.
Au milieu des volutes
Dans la tempête brute,
Des ombres, sans cesse, butent
dans une si belle lutte.
Puis vient la neige douce.
Qui descent doucement.
Et recouvrela mousse
D'un joli tapis blanc.
Paysage reposant
Que celui-ci, s'offrant
A mes yeux fatigués
Du trop de mouvements.
Alors ce lieu glacé.
Le sol est tout blanc ;
Les arbres sont blancs.
Tout et bien gelé.
Le lieu est glissant.
Le lieu est gacé.
Au milieu des volutes
Dans la tempête brute,
Des ombres, sans cesse, butent
dans une si belle lutte.
Puis vient la neige douce.
Qui descent tendrement.
Et recouvrela mousse
D'un joli tapis blanc.
Il pleut aujourd'hui,
Comme hier, il pleut.
Quelle triste monotonie ;
La pluie, les nuages, les deux...
Il n'y a qu'en esprit
Qu'on voit le ciel bleu.
Dehors, il fait froid
A tel point qu'il gel !
En tout cas, je crois...
Pluie et neige se mèlent,
Elles en ont le droit.
Tempête est belle.
Au milieu des volutes
Dans la tempête brute,
Des ombres, sans cesse, butent
dans une si belle lutte.
Puis vient la neige douce.
Qui descent lentement.
Et recouvrela mousse
D'un simple couvert blanc.
Tout est immobile ici.
Ne se ressent aucun vent
En cet endroit livide.
En cet endroit si vide
Il n'y a de mouvement.
Le paysage est sans vie
Sur le lac flotte la glace.
Comme une vraie patinoire ;
Reposant et remarquable.
Ici tout est si semblable.
Un dessin tout de blanc et noir.
La neige douce s'ammasse.
Au milieu des volutes
Dans la tempête brute,
Des ombres, sans cesse, butent
dans une si belle lutte.
Puis vient la neige douce.
Qui descent doucement.
Et recouvrela mousse
D'un joli tapis blanc.
Paysage reposant
Que celui-ci, s'offrant
A mes yeux fatigués
Du trop de mouvements.
Alors ce lieu glacé.
Le sol est tout blanc ;
Les arbres sont blancs.
Tout et bien gelé.
Le lieu est glissant.
Le lieu est gacé.
Au milieu des volutes
Dans la tempête brute,
Des ombres, sans cesse, butent
dans une si belle lutte.
Puis vient la neige douce.
Qui descent tendrement.
Et recouvrela mousse
D'un joli tapis blanc.
Clément.
