Nuits suantes d’angoisse, et cauchemars mortels
Bientôt ton image se pose sur l’autel
Vers qui se prosterne mon âme solitaire
Et je me sens dés lors, tout prêt pour te complaire.
Au lever ce matin j’étais assez chagrin
Car luit sur tous les toits une couche de givre
Pourtant je sors marcher, à l’effort je me livre...
Et tu as mon premier sourire du matin.
Tu sais être pour moi, comme un livre bien aimé
Que je relis toujours car jamais refermé
dans le sous bois profond, pas de rumeur profane
Pas loin de la ville mais le silence y plane.
Ce n’est qu’en ces lieux seuls que je trouve la paix
En moi, tes mots, tes rires et tes traits adulés
Je ne pense qu’à toi notre Amour se prolonge
Dans cette nature si propice à nos songes.
Notre complicité si belle en virtuel
Se complète en réel : nos pêchés sont véniels
Je sais que je t’apporte, et pour toi c’est de même
Magiques sont pour nous, ces deux seuls mots : je t’aime !
Jan
Bientôt ton image se pose sur l’autel
Vers qui se prosterne mon âme solitaire
Et je me sens dés lors, tout prêt pour te complaire.
Au lever ce matin j’étais assez chagrin
Car luit sur tous les toits une couche de givre
Pourtant je sors marcher, à l’effort je me livre...
Et tu as mon premier sourire du matin.
Tu sais être pour moi, comme un livre bien aimé
Que je relis toujours car jamais refermé
dans le sous bois profond, pas de rumeur profane
Pas loin de la ville mais le silence y plane.
Ce n’est qu’en ces lieux seuls que je trouve la paix
En moi, tes mots, tes rires et tes traits adulés
Je ne pense qu’à toi notre Amour se prolonge
Dans cette nature si propice à nos songes.
Notre complicité si belle en virtuel
Se complète en réel : nos pêchés sont véniels
Je sais que je t’apporte, et pour toi c’est de même
Magiques sont pour nous, ces deux seuls mots : je t’aime !
Jan