ESE MAJESTE
Vision morbide et sauvage
Un banc échoué sur un rivage
Des baleines qui en ont eut assez
Que pour leur chair de n’être apprécié
Des gros blocs d’iceberg qui se détachent
Des glaçons qui les remplacent
Des villages noyés et engloutis.
De plus en plus de dsudani
De plus en plus de déserts qui avancent
Donnant à la vie de moins en moins de chance
De terres donnant de moins en moins de blé
Des millions d’enfants morts nés
Un trop plein de pollution
Le dérèglement des saisons
Une atmosphère de plus en plus saturée
Des poumons plus en plus sclérosés
Des nuages de plus en plus sage
Des plans d’eau se transformant en mirages
Des restes d’ordures en paysage
De plus en plus de mondes sur la plage
De plus en plus de forets dévastées
Le reste , incendié
De plus en plus de tours qui s’élèvent
Une nature sauvage qui en crève
Des pilleurs prenant de plus en plus de poissons
Des conservent en surproduction
Des seins ne donnant plus de lait
Des enfants aux corps dévastés
Des dirigeants qui affament
Des yeux qui pleurent sans aucune larme
Moins de nourriture , mais plus d’armes
Plus de violence , et moins d’âme
Des animaux de plus en plus englués
Des rivages de plus en plus mazoutés
Un cadeau empoisonné
On ne sait plus ou mettre les pieds
De plus en plus de bâtiments
Un environnement tout en ciment
De moins en moins d’absorption
De plus en plus d’inondations
Un soleil de plus en plus chaud
Des maladies en nombre sur la peau
De plus en plus de retombées résiduelles
Ce n’est plus un don du ciel
De plus en plus de coulées de boue
Des familles qui pleurent à genoux
Une moitié du monde qui meurt de famine
tandis que l’autre pense que régime
de plus en plus de banques qui spéculent
un fond monétaire qui se désarticule
comment peut-on encore se regarder en face
devant tant de désolations ,
que ces pilleurs ont mis en place
frnacky h
Vision morbide et sauvage
Un banc échoué sur un rivage
Des baleines qui en ont eut assez
Que pour leur chair de n’être apprécié
Des gros blocs d’iceberg qui se détachent
Des glaçons qui les remplacent
Des villages noyés et engloutis.
De plus en plus de dsudani
De plus en plus de déserts qui avancent
Donnant à la vie de moins en moins de chance
De terres donnant de moins en moins de blé
Des millions d’enfants morts nés
Un trop plein de pollution
Le dérèglement des saisons
Une atmosphère de plus en plus saturée
Des poumons plus en plus sclérosés
Des nuages de plus en plus sage
Des plans d’eau se transformant en mirages
Des restes d’ordures en paysage
De plus en plus de mondes sur la plage
De plus en plus de forets dévastées
Le reste , incendié
De plus en plus de tours qui s’élèvent
Une nature sauvage qui en crève
Des pilleurs prenant de plus en plus de poissons
Des conservent en surproduction
Des seins ne donnant plus de lait
Des enfants aux corps dévastés
Des dirigeants qui affament
Des yeux qui pleurent sans aucune larme
Moins de nourriture , mais plus d’armes
Plus de violence , et moins d’âme
Des animaux de plus en plus englués
Des rivages de plus en plus mazoutés
Un cadeau empoisonné
On ne sait plus ou mettre les pieds
De plus en plus de bâtiments
Un environnement tout en ciment
De moins en moins d’absorption
De plus en plus d’inondations
Un soleil de plus en plus chaud
Des maladies en nombre sur la peau
De plus en plus de retombées résiduelles
Ce n’est plus un don du ciel
De plus en plus de coulées de boue
Des familles qui pleurent à genoux
Une moitié du monde qui meurt de famine
tandis que l’autre pense que régime
de plus en plus de banques qui spéculent
un fond monétaire qui se désarticule
comment peut-on encore se regarder en face
devant tant de désolations ,
que ces pilleurs ont mis en place
frnacky h
