Deux miroirs scintillants reflètent mon image,
La puissance d'un corps que tu désires tant.
Deux miroirs reflétaient mon passage,
La mort spirituelle d'un des deux amants.
Au pied de ce chêne qui fit gicler sa sève,
J'aimerais laisser pourrir mon corps nu d'esprit.
Et que les vers dans mes yeux se mirent et les crèvent
Afin de récolter en eux le sang aigri.
Ce chêne, ayant planté ses racines en moi
Aura tôt fait de succomber à une hâche
Pour vous abriter sous terre durant des mois.
Ce bois vampire de mon âme ne vous cache.
La puissance d'un corps vous serait très utile,
Afin de revoir les plantes qui vous mutilent.
La puissance d'un corps que tu désires tant.
Deux miroirs reflétaient mon passage,
La mort spirituelle d'un des deux amants.
Au pied de ce chêne qui fit gicler sa sève,
J'aimerais laisser pourrir mon corps nu d'esprit.
Et que les vers dans mes yeux se mirent et les crèvent
Afin de récolter en eux le sang aigri.
Ce chêne, ayant planté ses racines en moi
Aura tôt fait de succomber à une hâche
Pour vous abriter sous terre durant des mois.
Ce bois vampire de mon âme ne vous cache.
La puissance d'un corps vous serait très utile,
Afin de revoir les plantes qui vous mutilent.