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Les yeux médusés

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Maître Poète
#1
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Les yeux médusés
Les yeux médusés par le grand spectacle
Ma pensée s’assied dans la luminosité
Pour pénétrer les images de la réalité
Que l’œuvre se découvre, Ô pinacle!
¤
Fréquence indicible sortie du néant
Ô Duale friction, voilà l’original du jour né
¤
Les mondes, systèmes, astres qui s’entassent
Forment les murs de l’univers; sourde filasse
Qui meuvent, bruitent, fracturent notre terre
Pour détachés, nous engendrer être monère
¤
De ce rien, Ô quartz! O atome! O molécule!
Vous nous avez mené sûr à l’être intelligent
Sur les grands chemins vagues, fertilisant
Notre pensée d’un prodigue savoir ; O culte !
¤
Le scientifique, le philosophe et les autres
S’arrogent orgueilleux de la connaissance
D’un monde illusoire dans la résonance
D’un néant qui nous attend en bon apôtre
¤
Sa doctrine nous dit : sois humble et vigilant
Vis ma nature sans rechercher son savoir
Sa puissance te laissera jusqu’au dernier soir
Chercher, encor chercher son entendement
¤
Et encor et encor : sois sagace être à vivre
Vis de ta nécessité pour venir serein caresser
Cet espace de temps que précieux je t’ai alloué
Don d’organe génétique de mon altruiste éternité
¤
Alors humain ne cherche pas l’infini introuvable
Trouve ce qui peut être qu’un bien : Le bonheur
Et laisse courir sur l’éternité le mal : Le malheur
Marche sage sur ton unique espace temps stable
Toi l’humain tu n’a qu’un avenir restreint
Celui d’être présent sur un monde exceptionnel
Ton instinct d’animal te donne des droits naturels
Tuer, car tu te dois de survivre à l’espace vie, contraint
¤
Ne te laisse pas aller vaniteux au crime inutile
Tuer n’est pas l’acte prohibé de l’assassin rebelle
Celui-ci mortifie ma nature qui servile t’interpelle
Dans ta sentence renvoie le mal au néant futile
Au demain l’intelligence a demandé à ton instinct
Pourquoi ton corps vagabonde sur cet interstice
Sur ce monde, sur cette terre, sans autre bénéfice
Que de passer là, nature façonnant innée ton destin
¤
Ne cherche plus philosophe, tu es riche, tu es pauvre
Tu es savant, tu es simplet, ne juge nature divinatoire
Sans chercher, sans vouloir dans son cycle aléatoire
Qui a engendré où, quand, comment ta pure réalité
¤
Philosophe si tu es, si tu crois être, tu es alors nanti
Tu es nanti du savoir, nanti de la fortune ; o pauvre !
De la sagesse, laisse-toi aller vers l’humilité des autres
Tous ces simplets que tu rejettes à ne connaître us de ta vie
La vie est si simple philosophe, elle n’est ce que tu en dis
Tes mots n’ont de réel que ce que tu veux leur faire dire
Quand tu té retrouve seul à les bien vouloir comprendre
ÿƒC​
 

Polymnie2

Maître Poète
#2
Quel riche héritage
que ton âme nous révèle
et que de finesse tu la combles
pour nous faire méditer sa dentelle!

Avec un grand coup de cœur,
reçois mes amitiés, Poly
 
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