Les vieux de miel !(pastiche)
L'été m'ennuie rayant toute ma plénitude,
Mes feuilles d’écrits joyeuses décriant la famille,
Seul sans fête ou se porte ma plume déguise sa fille,
Griffe en dédicace, affine la fin, ma décrépitude.
Le beau radin dose pour noter l’espace du prélude,
Les potes givrées s’entrechoquent en exploits,
Qui servent l’oraison quand on solde l'emploi,
Le printemps vigoureux dégrafait aux rebords de l’étude.
Il devance louant caresses distinctes des servitudes,
Deviendront au matin de belles brunes, estampes, altières,
Celles que les passants délaissent si fugaces mais grossières,
Comme cendrillon babillée de brèves béatitudes.
Les vieux débarbouillés, avides de gratitude,
Estiment les plaisirs détrompeur de leur position,
Aux belles de jour, ils éclairent sur de leur abnégation,
Déférents de mes mots inédits d'une telle amplitude.
L'été m'ennuie rayant toute ma plénitude,
Mes feuilles d’écrits joyeuses décriant la famille,
Seul sans fête ou se porte ma plume déguise sa fille,
Griffe en dédicace, affine la fin, ma décrépitude.
Le beau radin dose pour noter l’espace du prélude,
Les potes givrées s’entrechoquent en exploits,
Qui servent l’oraison quand on solde l'emploi,
Le printemps vigoureux dégrafait aux rebords de l’étude.
Il devance louant caresses distinctes des servitudes,
Deviendront au matin de belles brunes, estampes, altières,
Celles que les passants délaissent si fugaces mais grossières,
Comme cendrillon babillée de brèves béatitudes.
Les vieux débarbouillés, avides de gratitude,
Estiment les plaisirs détrompeur de leur position,
Aux belles de jour, ils éclairent sur de leur abnégation,
Déférents de mes mots inédits d'une telle amplitude.