Un chemin de pré , une cueillette de girolles
La féerie d'un soleil levant sur la chaine Cévenol
Je m'émeus toujours devant l'or des premiers rayons
Et du vent qui modifie à son gré l'horizon
Il anime la prairie, fait onduler les hautes herbes
Les feuillages frissonnent, les ombres sont agitées
Au ciel des lacs aériens,des éclaircies d'azur en gerbe
Pareilles à la nuance des yeux de mon bien aimé
Ce matin la campagne est figée dans la blancheur rosée
D'une onde, elle se poudre et j'ai le chien sur mes talons
nous croisons une maison au faîtage de châtaignier
Des chèvres laitières aux cornes comme des aiguillons
Une chèvrerie où le soleil entre par les fenestrons
Des auges remplies d'eau et un râtelier de céréales
Et ce lopin que nous gagnons à gué sur deux dalles
Mon âme de poète a la main verte et cette passion
Cette passion pour les arums ,les lupins et les lys
Mais ma préférence va aux tulipes et aux iris
Qui me font une farandole pour dans leur ronde
M'y faire entrer, c'est mon royaume ce monde
Ordonnant les couleurs, apprivoisant les essences
Suscitant les parfums, et ce bord de ruisseau
Où je cueille la bruyère sous une nuée d'oiseaux
Je préserve l'endroit comme le baiser de Maxence
Parti vers d'autres cieux ,je laisse poser sa terre
Quand seules les tulipes roses poussent les premières
Endormies des années ,un éclat sur le sol en jachère
Je les pense dépositaires d'un message très clair
C'est Maxence qui me l'a envoyé.............
La féerie d'un soleil levant sur la chaine Cévenol
Je m'émeus toujours devant l'or des premiers rayons
Et du vent qui modifie à son gré l'horizon
Il anime la prairie, fait onduler les hautes herbes
Les feuillages frissonnent, les ombres sont agitées
Au ciel des lacs aériens,des éclaircies d'azur en gerbe
Pareilles à la nuance des yeux de mon bien aimé
Ce matin la campagne est figée dans la blancheur rosée
D'une onde, elle se poudre et j'ai le chien sur mes talons
nous croisons une maison au faîtage de châtaignier
Des chèvres laitières aux cornes comme des aiguillons
Une chèvrerie où le soleil entre par les fenestrons
Des auges remplies d'eau et un râtelier de céréales
Et ce lopin que nous gagnons à gué sur deux dalles
Mon âme de poète a la main verte et cette passion
Cette passion pour les arums ,les lupins et les lys
Mais ma préférence va aux tulipes et aux iris
Qui me font une farandole pour dans leur ronde
M'y faire entrer, c'est mon royaume ce monde
Ordonnant les couleurs, apprivoisant les essences
Suscitant les parfums, et ce bord de ruisseau
Où je cueille la bruyère sous une nuée d'oiseaux
Je préserve l'endroit comme le baiser de Maxence
Parti vers d'autres cieux ,je laisse poser sa terre
Quand seules les tulipes roses poussent les premières
Endormies des années ,un éclat sur le sol en jachère
Je les pense dépositaires d'un message très clair
C'est Maxence qui me l'a envoyé.............
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