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Les souvenirs

#1
Les souvenirs

Le temps passe, les souvenirs restent
Le temps fuit, ma conscience crie
Quand vient la nuit, des silhouettes dansent
Elles racontent qu’elles ont la clé du temps…
Dans les moments les plus sombres
J’explore mes profondeurs
Aux pieds des arbres, je trouve refuge
Les feuilles chantent "orage" au désespoir…
Les oiseaux recueillent mes plus beaux sourires
Le vent sur mon visage me ranime
Le temps finit par tout balayer
Mes larmes finissent par s’estomper.
Les mots qui blessent ne font plus mal
Et les chagrins me font grandir
Alors avec quiétude j’accueille ce qui vient
Et laisse partir ce qui s’en va…


Lucie Mathis
 
Dernière édition:

Raymond3

Maître Poète
#2
Le temps passe, les souvenirs restent,
Le temps fuit, ma conscience crie,
Quand vient la nuit, les ombres d’autrefois déambulent et me hante,
Les fantômes du passé, tel des messagers, détiennent la clé de l’énigme.
Enigmatique, je me fourvoie pour mieux me retrouver,
Ecliptique, je tournoie pour mieux rêver,
J’enquête et j’explore mes profondeurs,
Je me laisse aller pour laisser aller ce qui fait mal.
Dans les moments les plus sombres, à l’ombre, aux pieds des arbres, je trouve refuge,
Les feuilles virevoltent, "orage", au désespoir...
Un "éclair" de lucidité puis la pluie me ramène à la vie,
Aux pieds des arbres, j'appréhende, j'envisage puis trouve le repos.
Leurs branches accueillent mes plus beaux sourires et mes plus beaux poèmes,
Le vent sur mon visage tel une caresse m’apaise,
Le temps finit par tout balayer, mes larmes finissent par s’estomper,
Les mots qui blessent ne me font plus autant souffrir, les peines me font grandir,
Alors avec bienveillance et insouciance, j’accueille ce qui vient et laisse partir ce qui s’en va …
Lucie Mathis
Le temps passe, les souvenirs restent,
Le temps fuit, ma conscience crie,
Quand vient la nuit, les ombres d’autrefois déambulent et me hante,
Les fantômes du passé, tel des messagers, détiennent la clé de l’énigme.
Enigmatique, je me fourvoie pour mieux me retrouver,
Ecliptique, je tournoie pour mieux rêver,
J’enquête et j’explore mes profondeurs,
Je me laisse aller pour laisser aller ce qui fait mal.
Dans les moments les plus sombres, à l’ombre, aux pieds des arbres, je trouve refuge,
Les feuilles virevoltent, "orage", au désespoir...
Un "éclair" de lucidité puis la pluie me ramène à la vie,
Aux pieds des arbres, j'appréhende, j'envisage puis trouve le repos.
Leurs branches accueillent mes plus beaux sourires et mes plus beaux poèmes,
Le vent sur mon visage tel une caresse m’apaise,
Le temps finit par tout balayer, mes larmes finissent par s’estomper,
Les mots qui blessent ne me font plus autant souffrir, les peines me font grandir,
Alors avec bienveillance et insouciance, j’accueille ce qui vient et laisse partir ce qui s’en va …
Lucie Mathis
Beau souffle de liberté, l'essentiel se joue sur l'infinité de ce qui nous entoure, d'une prodigieuse nature qui vous aide à retrouver un manteau de lumières!

Tous mes voeux:)
 

prose16

Maître Poète
#5
Un "éclair" de lucidité puis la pluie me ramène à la vie,
Aux pieds des arbres, j'appréhende, j'envisage puis trouve le repos.
Leurs branches accueillent mes plus beaux sourires et mes plus beaux poèmes,
Le vent sur mon visage tel une caresse m’apaise,
Un bel écrit dont les mots me parlent et me touchent. La nature souvent apaise et ressource...merci pour cette belle lecture...