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Les soirs : Peureux. (pastiche)

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
Les soirs : Peureux. (pastiche)

Il est sortant, sans désastres, même par miel de prune,
Un maillon de brune qui, sur moi, se surprend,
Je suis sans l’air, même me voulant à la une,
L’amorce de l’orage m’est si doux maintenant.

Mégarde d’opinion, alors désastre en douche,
Le champ qui me touche n’en déduit la douleur,
Écoute dés lors ma sœur, son étude en bouche,
Quand je vole d’une couche si semblable au bonheur.

Ecoutes, je susurre, si près dans ma bastille,
Je t’offre et empile pour te le déposer,
D’un conte, d’une ronde, malicieux mais indocile,
En suivant ce fil, j’t’apprendrai à t’animer.

En blanc sur noir ma prose est en bleu,
La trêve du jour n’ fait pas rire le vieux,
Que l’envie qui m’entraîne te soit dynamique,

Les souvenirs nous rappelleront les jours heureux.