L a voir ainsi, immobile
E st une belle ode à sa sagesse:
“S ouviens-toi, petit cœur, n'oublie pas…”
R egarde encore ses yeux brillants de tout,
I magine-la, vingt ans de moins:
D ans sa robe rose et blanche, elle était belle...
E t maintenant, sa beauté bleuté est sa vie même:
“S ouviens-toi, petit cœur, n'oublie pas…”
D ans les instants de terreur, elle fut la digue
E ntendant les cris, les pleurs, elle a tenu.
L à-bas, les frontières de son courage ne sont que lignes,
A déplacer, à repousser, qu'elle peut changer.
V ois, petit cœur, retiens et apprends.
I magine cette si belle femme, qui a tout vu
E n restant elle, et pour qui le monde reste inconnu.
F aut-il croire se connaître, pour devenir
O racle vivant, comme celle qui m’a tant fait tenir?
“R egarde, petit cœur, et prend exemple
M aintenant, tu es cette lampe éclairant ta vie.
E xamine avec soin mes pas dans les neiges,
N ’oublie jamais la solitude qui es le partage
T oujours, de ceux qui rêvent de suivre les sages…”
“L aisse moi te guider, petit cœur,
E spère en Le Seul qui compte pour toi
S uis-Le, petit cœur, parle Lui,
S ache-le, petite étoile, quand mes lèvres seront closes
T ransparentes de froideur, muettes d’éternité
A pprends à comprendre le silence
T u percevra, en lui, l’Absence:
U surpe la peine qui te fera son esclave,
E t réchauffe ton étoile à l’ombre de ta joie.
S ouris, petit cœur, c’est là le monument de ton bonheur.
D ispense à tous la joie, et tu la gagnera,
‘
E lle est la seule pouvant se donner à crédit,
X ylophone où chaque touche est une perle
P ortée aux lèvres de l’humanité.
E lle est la seule, cette joie, qui partout
R este de toi, comme un parfum de rêves fous.
I magine la, petite étoile, ta vie sans rêves,
E t met ta main, petit bourgeon, dans la mienne.
N ous sommes toutes deux des parchemins de vies:
C roisés, pliés, parfois même abîmés,
E t surtout, petite étoile, aimés…
E st une belle ode à sa sagesse:
“S ouviens-toi, petit cœur, n'oublie pas…”
R egarde encore ses yeux brillants de tout,
I magine-la, vingt ans de moins:
D ans sa robe rose et blanche, elle était belle...
E t maintenant, sa beauté bleuté est sa vie même:
“S ouviens-toi, petit cœur, n'oublie pas…”
D ans les instants de terreur, elle fut la digue
E ntendant les cris, les pleurs, elle a tenu.
L à-bas, les frontières de son courage ne sont que lignes,
A déplacer, à repousser, qu'elle peut changer.
V ois, petit cœur, retiens et apprends.
I magine cette si belle femme, qui a tout vu
E n restant elle, et pour qui le monde reste inconnu.
F aut-il croire se connaître, pour devenir
O racle vivant, comme celle qui m’a tant fait tenir?
“R egarde, petit cœur, et prend exemple
M aintenant, tu es cette lampe éclairant ta vie.
E xamine avec soin mes pas dans les neiges,
N ’oublie jamais la solitude qui es le partage
T oujours, de ceux qui rêvent de suivre les sages…”
“L aisse moi te guider, petit cœur,
E spère en Le Seul qui compte pour toi
S uis-Le, petit cœur, parle Lui,
S ache-le, petite étoile, quand mes lèvres seront closes
T ransparentes de froideur, muettes d’éternité
A pprends à comprendre le silence
T u percevra, en lui, l’Absence:
U surpe la peine qui te fera son esclave,
E t réchauffe ton étoile à l’ombre de ta joie.
S ouris, petit cœur, c’est là le monument de ton bonheur.
D ispense à tous la joie, et tu la gagnera,
‘
E lle est la seule pouvant se donner à crédit,
X ylophone où chaque touche est une perle
P ortée aux lèvres de l’humanité.
E lle est la seule, cette joie, qui partout
R este de toi, comme un parfum de rêves fous.
I magine la, petite étoile, ta vie sans rêves,
E t met ta main, petit bourgeon, dans la mienne.
N ous sommes toutes deux des parchemins de vies:
C roisés, pliés, parfois même abîmés,
E t surtout, petite étoile, aimés…