Septembre 2011
Les Ombres de la Nuit
Quand le soir tombe, je suis sereine,
Je suis dans mon cocon comme une reine.
Je pense au temps où il n'y avait pas de lumière
Juste des bougies pour éclairer l'atmosphère.
Dans les maisons, dans la pénombre,
Se jouait une sorte de jeu d'ombres,
Les objets, les êtres, tous étaient sombres,
Même le feu dans la cheminée était du nombre.
Souvenirs d'autrefois, d'un temps passé,
Où chacun avait son ombre qui suivait,
Devant, derrière, sur les côtés,
Cherchant quelque par à nous effrayer.
Les ombres de la nuit ont marqué mon enfance
A la campagne, je me rappelle ce grand lit
Où sous l'édredon en plumes bien blottie,
Pas rassurée, j'écoutais les moindres bruits.
Seul le balancier d'une immense comtoise
Derrière la porte me faisait très peur,
Lorsque gravement elle comptait les heures
Je ne fermais pas l'oeil, déjà des angoisses...
Dehors il n'y avait aucune lumière
Rien qu'un immense ciel étoilé,
Un spectacle de toute beauté,
Comme aujourd'hui dans le désert.
Maryse.
Les Ombres de la Nuit
Quand le soir tombe, je suis sereine,
Je suis dans mon cocon comme une reine.
Je pense au temps où il n'y avait pas de lumière
Juste des bougies pour éclairer l'atmosphère.
Dans les maisons, dans la pénombre,
Se jouait une sorte de jeu d'ombres,
Les objets, les êtres, tous étaient sombres,
Même le feu dans la cheminée était du nombre.
Souvenirs d'autrefois, d'un temps passé,
Où chacun avait son ombre qui suivait,
Devant, derrière, sur les côtés,
Cherchant quelque par à nous effrayer.
Les ombres de la nuit ont marqué mon enfance
A la campagne, je me rappelle ce grand lit
Où sous l'édredon en plumes bien blottie,
Pas rassurée, j'écoutais les moindres bruits.
Seul le balancier d'une immense comtoise
Derrière la porte me faisait très peur,
Lorsque gravement elle comptait les heures
Je ne fermais pas l'oeil, déjà des angoisses...
Dehors il n'y avait aucune lumière
Rien qu'un immense ciel étoilé,
Un spectacle de toute beauté,
Comme aujourd'hui dans le désert.
Maryse.