Les mots tombent comme une massue
crâne ensanglanté à moitié fondus
je sais plus d'où viennent les coups
la haine ne me fait plus défaut
quand j'entends derrière moi, ces lionceaux
qui grognent et s'entretue dans l'enclos
l'homme n'a de prix que son égo
derrière toute part de vraie, ce vieux tableau
noirci à l'encre de la douleur, dans cet étau
instrument de torture, sur l'échafaud
quand dans la scène, j'oublis mes maux
criant de haine dans ce cachot.
crâne ensanglanté à moitié fondus
je sais plus d'où viennent les coups
la haine ne me fait plus défaut
quand j'entends derrière moi, ces lionceaux
qui grognent et s'entretue dans l'enclos
l'homme n'a de prix que son égo
derrière toute part de vraie, ce vieux tableau
noirci à l'encre de la douleur, dans cet étau
instrument de torture, sur l'échafaud
quand dans la scène, j'oublis mes maux
criant de haine dans ce cachot.