Les mésanges encensent les halos de ta Lumière
Ma Douce, mon Aimée,
Toi qui compatis à la douleur des arbres que l’on abat,
ne m’oublie pas, je t’en conjure,
j’ai si besoin de ta présence, et de ta Tendresse.
Toi qui compatis à la douleur des arbres que l’on abat,
ne m’oublie pas, je t’en conjure,
j’ai si besoin de ta présence, et de ta Tendresse.
Les mésanges dans les bosquets et les clairières
encensent les halos de ta Lumière,
les chemins et les fourrés psalmodient
le vent de tes pas,
encensent les halos de ta Lumière,
les chemins et les fourrés psalmodient
le vent de tes pas,
je cueille chaque jour
des lys blancs et des violettes
que je dépose devant ta maison
avec des odes saphiques à ta Gloire,
des lys blancs et des violettes
que je dépose devant ta maison
avec des odes saphiques à ta Gloire,
cependant tu ne réponds pas
à mes suppliques d’Amour,
réponds-moi,
édicte-moi des édits de délicatesse.
à mes suppliques d’Amour,
réponds-moi,
édicte-moi des édits de délicatesse.
Je ne me reconnais plus,
je ne mange plus, je dors mal,
je suis en souffrance,
ne m’abandonne pas au gré des ciels d’azur,
je ne mange plus, je dors mal,
je suis en souffrance,
ne m’abandonne pas au gré des ciels d’azur,
ouvre-moi les ailes de tes bras menus,
baptise-moi de tes sourires,
fais-moi émerger des ténèbres,
je n’en peux plus.
baptise-moi de tes sourires,
fais-moi émerger des ténèbres,
je n’en peux plus.
Arrête tes pas, tourne-Toi vers moi,
caresse mon front fiévreux,
prends ma dextre, et emmène-moi à jamais
en l’aube infinie des printemps de notre Vie !
caresse mon front fiévreux,
prends ma dextre, et emmène-moi à jamais
en l’aube infinie des printemps de notre Vie !
Sophie Rivière