LES ENFANTS DE L'ESPOIR
Tout les matins, quand je me lève,
J'ai toujours en moi, cette angoisse,
Elle me fait peur, tant elle me froisse,
Mais je n'vais pas stopper mes rêves,
Pourtant, j'n'arrête pas de penser,
A cette peur, qu'est dans mes pensées,
Or j'panse, à mon niveau, nos terres,
Car cette idée, j'refuse d'y croire,
En effet, j'veux garder espoir,
De voir un jour la paix sur Terre,
Car je n'veux pas la voir sombrer,
Car j'vois chaque jour le monde changer,
Mais sur mon perchoir en granit,
J'vois ces passants passer sans trêve,
Pensent-ils au passé et au futur,
Car leurs enfants ont tant de rêves,
Pansons ce berceau d'l'être humain,
Car unique est cet immense site,
Tant d'choses peuvent être faites de nos mains,
Car l'avenir est nos enfants,
Ces petits êtres sont plus matures,
Laissons-les nous montrer la vie,
Car le monde est tel aujourd'hui,
Qu'on n'voit plus le jour dans nos champs.
Tout les matins, quand je me lève,
J'ai toujours en moi, cette angoisse,
Elle me fait peur, tant elle me froisse,
Mais je n'vais pas stopper mes rêves,
Pourtant, j'n'arrête pas de penser,
A cette peur, qu'est dans mes pensées,
Or j'panse, à mon niveau, nos terres,
Car cette idée, j'refuse d'y croire,
En effet, j'veux garder espoir,
De voir un jour la paix sur Terre,
Car je n'veux pas la voir sombrer,
Car j'vois chaque jour le monde changer,
Mais sur mon perchoir en granit,
J'vois ces passants passer sans trêve,
Pensent-ils au passé et au futur,
Car leurs enfants ont tant de rêves,
Pansons ce berceau d'l'être humain,
Car unique est cet immense site,
Tant d'choses peuvent être faites de nos mains,
Car l'avenir est nos enfants,
Ces petits êtres sont plus matures,
Laissons-les nous montrer la vie,
Car le monde est tel aujourd'hui,
Qu'on n'voit plus le jour dans nos champs.
LUDOVIC IZAMBARD
Le 14 Septembre 2011