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Les dix maux de juillet ( le ruisseau )...

lilasys

Maître Poète
#1
Les dix maux de juillet ( le ruisseau )....

Il y a cette profondeur à couper au couteau
Ce lit où la chaleur se meurt dans l'océan
De la source première aux mille gouttes d'eau
Fuit une infinie bonté au delà des versants


Un doux frémissement chantonne entre les arbres
Cette coulée en fusion faite d'apparats
Dessine un sol de cailloux de marbre
Vertige de la vie quand Dieu est Râ


Les étoiles jouent une mélodie sur la montagne
Accompagnent le souffle du vent dans la flûte
Là où les notes de musique portent le pagne
D'un imprimé du regard sur toile de jute


Toute cette flotte dont l'existence est limitée à la mort
Des napperons en finitude cousus au fil d'argent et d'or....


LILASYS

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Dernière édition:

lilasys

Maître Poète
#3
Si j'étais une goutte !!

Je voudrais être une goutte de pluie
Et tomber du ciel dans tes cheveux
Ruisseler parmi tous ces épis
Et descendre lentement sur tes yeux.

Te servir un instant de loupe
Le temps de mémoriser leur couleur
Et descendre jusqu'à ta croupe
Te faisant frissonner de bonheur

Descendre le long de tes jambes
En évaluer, avide, la longueur
Et me retrouver au sol exsangue
Mais heureux d'avoir goûté ta saveur


HAMILCAR001


 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#5
Les dix maux de juillet ( le ruisseau )....

Il y a cette profondeur à couper au couteau
Ce lit où la chaleur se meurt dans l'océan
De la source première aux mille gouttes d'eau
Fuit une infinie bonté au delà des versants


Un doux frémissement chantonne entre les arbres
Cette coulée en fusion faite d'apparats
Dessine un sol de cailloux de marbre
Vertige de la vie quand Dieu est Râ


Les étoiles jouent une mélodie sur la montagne
Accompagnent le souffle du vent dans la flûte
Là où les notes de musique portent le pagne
D'un imprimé du regard sur toile de jute


Toute cette flotte dont l'existence est limitée à la mort
Des napperons en finitude cousus au fil d'argent et d'or....


LILASYS
Lady mots d’août (en fleuve)....

Il y a cette hauteur découpée pour puceau
Ce délit de froideur demeure ici séant
Comme la course première en soute d'eau
Fruit bien fini escompté au delà des serments.

Un coup fracassant détonne de mon sabre
Découlé d’infusion faite de beaux carats
Designe un solde cailloux en marbre
Vestige de l’envie du vieux en rat

Les toiles déjouent Elodie, sur les mont stagne
Raccompagnent le gouffre souvent injuste
Là où ma cote sans réplique m’apporte moins de hargne
Comme imprimé sans égards sur cette toile juste

Comme cette sotte dont la chance se limite au fort
Des chaperons en servitude recousus d’un fil en renfort...
 

BLondidi

Maître Poète
#6
Il est des jours ,ou notre lecture se fait grand plaisir !;)
Bravo ! belle poétesse !
Bisous
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•BLondidi •*