Les couleurs de la nuit
Le soleil de retour, sa lumière nous éblouie,
C’est peut être renaître, que d’y croire un peu,
Sa chaleur, sa présence, me rappelant la tienne,
Il passa trop de temps, sans les nuits inouïes.
Et ce sont des passages, qui enivre l’ennui,
Que l’imagination, fait écrire par les veines,
Il fallait par les yeux te dire que l’amour est preux,
Peut être que des pages de pleurs seraient ta Seine,
Aujourd’hui le voilà, avec toute sa clarté,
Toute l’ombre disparait, il ne reste que lui,
Les rêves dans la vie, demeurent à jamais,
Ceux au sol qui se battent, on bien le cœur qui luit.
Et si demain tu pleures, j’essaierais de consoler,
Et tu pourrais bien rire, je tente de participer,
Rien n’est jamais écrit, que les couleurs du monde,
Tu écris à l’envie bien des choses à l’envers, Joconde.
Le soleil de retour, sa lumière nous éblouie,
C’est peut être renaître, que d’y croire un peu,
Sa chaleur, sa présence, me rappelant la tienne,
Il passa trop de temps, sans les nuits inouïes.
Et ce sont des passages, qui enivre l’ennui,
Que l’imagination, fait écrire par les veines,
Il fallait par les yeux te dire que l’amour est preux,
Peut être que des pages de pleurs seraient ta Seine,
Aujourd’hui le voilà, avec toute sa clarté,
Toute l’ombre disparait, il ne reste que lui,
Les rêves dans la vie, demeurent à jamais,
Ceux au sol qui se battent, on bien le cœur qui luit.
Et si demain tu pleures, j’essaierais de consoler,
Et tu pourrais bien rire, je tente de participer,
Rien n’est jamais écrit, que les couleurs du monde,
Tu écris à l’envie bien des choses à l’envers, Joconde.