Tu les sens, c’est terrible, elles reviennent
Si fortes, indicibles et mortelles
Les affres du temps moderne
Elles te frappent t’épuisent et t’enrayent
Lance la grande machine de la dépression
Qui derrière sa mécanique perverse t’effraye
Plus de marche arrière, elle enclenche déjà la seconde
Et toi tu rampe derrière, tu accroche et t’espère
Mais la route est bien longue et prompt
Dans les virages t’accumule les pertes de contrôle
Et t’oublis tes zone d’ombre qui te précipite
Peu à peu vers ta véritable demeure, la tombe
Si fortes, indicibles et mortelles
Les affres du temps moderne
Elles te frappent t’épuisent et t’enrayent
Lance la grande machine de la dépression
Qui derrière sa mécanique perverse t’effraye
Plus de marche arrière, elle enclenche déjà la seconde
Et toi tu rampe derrière, tu accroche et t’espère
Mais la route est bien longue et prompt
Dans les virages t’accumule les pertes de contrôle
Et t’oublis tes zone d’ombre qui te précipite
Peu à peu vers ta véritable demeure, la tombe