L'errance de l'esprit. (Sonnet)
En plein cœur de la nuit, quand le ciel s'obscurcit,
On entend fredonner, tout en bas des ténèbres.
Dans les sombres couloirs, comme des chants funèbres ;
Venant de abyssal, qui soudain se noircit.
Les esprits égarés de ce vieux cimetière
Implorent tous les dieux, en faisant profil bas.
Dans les sentiers étroits, d'autres font les cent pas ;
Tout au long du chemin, recherchant la lumière.
En voulant s'échapper de ce maudit brouillard ;
Qui devient infernal, d'où l'affreux cauchemar ;
Qui règne dans ces lieux de la course mortelle.
De ce dernier départ via le corbillard,
De la route qui mène à la Sempiternelle ;
Où l'on prend son billet pour la vie éternelle.
W. Michel 29-11-2022
texte copyright
En plein cœur de la nuit, quand le ciel s'obscurcit,
On entend fredonner, tout en bas des ténèbres.
Dans les sombres couloirs, comme des chants funèbres ;
Venant de abyssal, qui soudain se noircit.
Les esprits égarés de ce vieux cimetière
Implorent tous les dieux, en faisant profil bas.
Dans les sentiers étroits, d'autres font les cent pas ;
Tout au long du chemin, recherchant la lumière.
En voulant s'échapper de ce maudit brouillard ;
Qui devient infernal, d'où l'affreux cauchemar ;
Qui règne dans ces lieux de la course mortelle.
De ce dernier départ via le corbillard,
De la route qui mène à la Sempiternelle ;
Où l'on prend son billet pour la vie éternelle.
W. Michel 29-11-2022
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