Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Le vieux et la vielle.

#1
La main dans la main, comme deux amants
Qui se sont retrouvé pour la première fois
Le cœur plein d’amour et l’âme pleine de foi
Le vieux et la vielle, en leur lente marche si souvent
Piétinaient sous leurs pas, le temps monotone
De leurs jours et de leur saison d’automne
Si bien qu’ils ne pensaient plus à demain, ni à son présent

La main dans la main, chemin faisant d’un pas calme
S’arrêtaient à chaque détour familier à chaque lieu aimé
Éveillant d’un temps lointain leur ardente passion et son passé
Et ce qui fut leur monde et la verdeur de leur âme
Malgré les années vécues qui n’ont qu’une seule image
De tant de souvenirs que le temps farceur, ni le pesant âge
N’effaceront de leurs mémoires, les flammes de leur je t’aime

Et à jamais les plus chers amis vivants et morts qui furent jadis
La lumière et le soleil et l’immense azur de leurs libres ébats
Qu’il vente qu’il pleuve, tant que crépite la flamme de la joie
Et sonnait dès le soir la lyre, du plaisir aux tendres veillées
Fourmillantes de divers dires, de rires et d’extases arrosées
Animant sans fin leurs âmes et cœurs de jeunesse et de vie

Ô jeunesse ! Ô printemps ! Ô temps des beaux jours
Main dans la main, le vieux et la vielle, chemin faisant
Comme s’ils se sont retrouvés après une folle passion
Et se sont juré de vivre jusqu’à l’ultime heure de leur vie
En un seul corps et en toute harmonie
Leur songe que chacun à sentit son bonheur fleurir
En les yeux de l’autre et son seul et sublime amour.
 
#11
La main dans la main, comme deux amants
Qui se sont retrouvé pour la première fois
Le cœur plein d’amour et l’âme pleine de foi
Le vieux et la vielle, en leur lente marche si souvent
Piétinaient sous leurs pas, le temps monotone
De leurs jours et de leur saison d’automne
Si bien qu’ils ne pensaient plus à demain, ni à son présent

La main dans la main, chemin faisant d’un pas calme
S’arrêtaient à chaque détour familier à chaque lieu aimé
Éveillant d’un temps lointain leur ardente passion et son passé
Et ce qui fut leur monde et la verdeur de leur âme
Malgré les années vécues qui n’ont qu’une seule image
De tant de souvenirs que le temps farceur, ni le pesant âge
N’effaceront de leurs mémoires, les flammes de leur je t’aime

Et à jamais les plus chers amis vivants et morts qui furent jadis
La lumière et le soleil et l’immense azur de leurs libres ébats
Qu’il vente qu’il pleuve, tant que crépite la flamme de la joie
Et sonnait dès le soir la lyre, du plaisir aux tendres veillées
Fourmillantes de divers dires, de rires et d’extases arrosées
Animant sans fin leurs âmes et cœurs de jeunesse et de vie

Ô jeunesse ! Ô printemps ! Ô temps des beaux jours
Main dans la main, le vieux et la vielle, chemin faisant
Comme s’ils se sont retrouvés après une folle passion
Et se sont juré de vivre jusqu’à l’ultime heure de leur vie
En un seul corps et en toute harmonie
Leur songe que chacun à sentit son bonheur fleurir
En les yeux de l’autre et son seul et sublime amour.
magnifique