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Le vague sein se couvre de brouille art.. .

lilasys

Maître Poète
#1
Le vague sein se couvre de brouille art.. .

Sous la sombre parade de mensonges
La bravoure se charge de nonchaloir
Ce peuple caché sous l'alcôve se ronge
Ne vient pas gesticuler au parloir


Des frontières lointaines faites de funérailles
Une poudre de cendres en est le parfum
Cette profondeur d'une Europe sans rails
Sont derniers vaisseaux de nos défunts


Embrassez la gloire qui gît dans les chambrées
Sur ces champs minés de rouges grenades
Aucun lieu n'est fécond aux regards fermés
L'océan pourpre vit sans aucunes baignades


Où frémit un soupçon de cheminées noires
Ou les oubliés qui valsent dans l'écume
Munis aujourd'hui de tristes encensoirs
Ces cadavres qui désirent que l'on exhume


Leurs noms inconnus sous l'arc de gerbes
Perdus entre 4 murs ou 4 planches, les revenants
Un jour, une nuit paient ce que coûte la mort en herbe

Ensevelis dans les tranchées à la gloire des hommes, la patrie en sang.


LILASYS

POUR NE JAMAIS OUBLIER LEUR SACRIFICE

 

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#3
et dire que certains veulent voir refleurir les frontières enfin fermer les barrières comme ci ceci empêcher la connerie, chacun chez soit et les moutons seront bien gardés, les moutons serte mais les bergers, savent ils se garder, ils veulent toujours voir l'herbe plus verte chez le voisin et la convoite pour mener plus gras leurs troupeaux à l'abattoir
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#4
La blague «saint» découvre ma brouille d’art.
(Avec mes excuses)

Sous le nombre parade mes beaux songes,
Je savoure et décharge mon p’tit savoir,
Pour le peuple caché que l'alcool éponge,
Ne venez pas articuler sur mon bavoir.


Des fondrières reculées, défaites de batailles,
Découdre et vendre tout mon fol parfum,
Tout en profondeur, l’enveloppe du travail,
Est le premier vaisseau de mes alexandrins.


Empoignez ma foire, elle surgît dans vos chambrées,
Comme un chant mimé de douces balades,
Aucun vieux n'est fécond aux égards fermés,
L'os fainéant qui sévit n’est qu’une galéjade.


Je frémis d’un soupçon de pouvoir vous voir,
Et j’ai oublié je valse dans un costume,
Démuni aujourd'hui de trop belles histoires,
De tes textes qui désirent tant qu'on les exhume.


Ton nom si connu mérite tant de gerbes,
Eperdus entre quatre jours ou quatre mois et revenant,
Un tour ne nuit pas et n’encroûte pas le fort en verbe,

Ennoblis par les branchés pour ta gloire de femme partie sans sens.

Ou

Sur le nombre, la charade de beaux songes,
L’amour se décharge en affûtoir,
Les gens cachetés sauvent où plongent,
Reviennent à bousculer l’assommoir,
Les matières si proche au faîtes des accordailles,
De coudre des masques en sont le vaccin,

Cette fausse laideur d'un monde qui déraille,
Des derniers faisceaux pour nos défunts,
Embarrassé, la foire surgît non calibrée,
Par des chants animés qui se bougent sans dérobades,
Tous les vieux pas trop con, non pas l’oeil fermé,
Leur séant âpre sévit dans toutes algarades,
On gémit des sous cons parcheminé de foire,
Mais les oubliés s’éclipsent dans la brume,
Démunis aujourd'hui, demain illusoire,
Le peu d’havre n’est qu’une enclume,
Leurs renoms méconnus s’échappe plus acerbe,
Eperdus entre 4 murs où 4 planches, consternant !
Un four d’ennui déplait sous la voûte, même fort en verbe.
 
Dernière édition:

lilasys

Maître Poète
#5
et dire que certains veulent voir refleurir les frontières enfin fermer les barrières comme ci ceci empêcher la connerie, chacun chez soit et les moutons seront bien gardés, les moutons serte mais les bergers, savent ils se garder, ils veulent toujours voir l'herbe plus verte chez le voisin et la convoite pour mener plus gras leurs troupeaux à l'abattoir
Merci Xavier pour ce réquisitoire qui exprime une volonté pour une Europe unie ....Mais quand sera-elle vraiment une union pour le bien de Tous ?
Chacun prêche pour sa paroisse, pour ne pas dire son cul ! Le seul qui s'y tient par orgueil et par ses discours Européens est Macron ...Il ferait mieux apaiser son peuple au lieu de faire le mariole ailleurs ...
A présent il est tout ouïe avec les Français , il commence sa campagne présidentielle 2022 !! Son discours de vendredi à 16 heures en est la preuve vivante
VIVE LA REPUBLIQUE VIVRE LA FRANCE
 
Dernière édition:

lilasys

Maître Poète
#6
La blague «saint» découvre ma brouille d’art.
(Avec mes excuses)

Sous le nombre parade mes beaux songes,
Je savoure et décharge mon p’tit savoir,
Pour le peuple caché que l'alcool éponge,
Ne venez pas articuler sur mon bavoir.


Des fondrières reculées, défaites de batailles,
Découdre et vendre tout mon fol parfum,
Tout en profondeur, l’enveloppe du travail,
Est le premier vaisseau de mes alexandrins.


Empoignez ma foire, elle surgît dans vos chambrées,
Comme un chant mimé de douces balades,
Aucun vieux n'est fécond aux égards fermés,
L'os fainéant qui sévit n’est qu’une galéjade.


Je frémis d’un soupçon de pouvoir vous voir,
Et j’ai oublié je valse dans un costume,
Démuni aujourd'hui de trop belles histoires,
De tes textes qui désirent tant qu'on les exhume.


Ton nom si connu mérite tant de gerbes,
Eperdus entre quatre jours ou quatre mois et revenant,
Un tour ne nuit pas et n’encroûte pas le fort en verbe,

Ennoblis par les branchés pour ta gloire de femme partie sans sens.

Ou

Sur le nombre, la charade de beaux songes,
L’amour se décharge en affûtoir,
Les gens cachetés sauvent où plongent,
Reviennent à bousculer l’assommoir,
Les matières si proche au faîtes des accordailles,
De coudre des masques en sont le vaccin,

Cette fausse laideur d'un monde qui déraille,
Des derniers faisceaux pour nos défunts,
Embarrassé, la foire surgît non calibrée,
Par des chants animés qui se bougent sans dérobades,
Tous les vieux pas trop con, non pas l’oeil fermé,
Leur séant âpre sévit dans toutes algarades,
On gémit des sous cons parcheminé de foire,
Mais les oubliés s’éclipsent dans la brume,
Démunis aujourd'hui, demain illusoire,
Le peu d’havre n’est qu’une enclume,
Leurs renoms méconnus s’échappe plus acerbe,
Eperdus entre 4 murs où 4 planches, consternant !
Un four d’ennui déplait sous la voûte, même fort en verbe.
Merci pour cet humour , n'oublions pas qu'il faut rire pour soigner les maux !