Le Soleil.
Le soleil se lève un matin.
Je pose mon doigt sur tes seins.
Titille le téton qui se dresse en malin.
Je respire une glycine en parfum.
Le palmier ploie sous ses feuilles endiablées.
Une tourterelle s’égare sous mes chemins.
Ma folie vole au-delà des destins.
Le jour se lève, emporté par une migraine
que la déraison soulève en haine.
Dans les yeux des hommes, j’ai vu la misère.
J’ai bu goulûment ta cyprine éphémère.
Lécher tes propos vaut mieux qu’une guerre
C’est ainsi, et c’est pourquoi je t’aime.
Loïc ROUSSELOT
Le soleil se lève un matin.
Je pose mon doigt sur tes seins.
Titille le téton qui se dresse en malin.
Je respire une glycine en parfum.
Le palmier ploie sous ses feuilles endiablées.
Une tourterelle s’égare sous mes chemins.
Ma folie vole au-delà des destins.
Le jour se lève, emporté par une migraine
que la déraison soulève en haine.
Dans les yeux des hommes, j’ai vu la misère.
J’ai bu goulûment ta cyprine éphémère.
Lécher tes propos vaut mieux qu’une guerre
C’est ainsi, et c’est pourquoi je t’aime.
Loïc ROUSSELOT