Le sauvetage.
Au fond de la plaine,
s'élève un nuage de poussière !
Ta ! La ! La !
Deux chevaux fous tirent une calèche,
Dans laquelle se trouve, en peine, une pimbêche.
Traa ! La ! La !
Derrière un cow-boy sur sa monture,
file à vive allure,
poursuit l'attelage
disposé au sauvetage.
Ta ! Ta ! Ta ! Ta....
(Sortez l'harmonica.)
Arrivé au niveau de l''équipage,
notre fier héros aperçoit la donzelle,
affolée et criant toute sa détresse.
Zoin... Zoin... Zoin...
(Font les violons.)
Alors, le cow-boy prit son élan,
et d'un triple salto avant
saute sur le premier canasson du char à bancs.
Domm ! Domm. !
(Ça, c'est la grosse caisse)
Il serre de toutes ses forces les brides
à s'en faire péter les deltoïdes,
stoppant, ainsi net, la course folle des étalons.
Dong ! Dong !
(Deux notes de contrebasse)
Toutefois bien que sauvée,
mademoiselle continue de hurler.
Mais hurler est un bien vain mot.
Beugler serait plus approprié.
(Là, la musique de fond est couverte par les cris)
Alors notre homme décontenancé,
saisit son colt six coups, et d'une seule balle,
car nul besoin de gaspiller, abattit l'animal.
Franchement, gueuler ainsi n'est point permis.
(Défilement de la liste des acteurs....)
Loïc ROUSSELOT
Au fond de la plaine,
s'élève un nuage de poussière !
Ta ! La ! La !
Deux chevaux fous tirent une calèche,
Dans laquelle se trouve, en peine, une pimbêche.
Traa ! La ! La !
Derrière un cow-boy sur sa monture,
file à vive allure,
poursuit l'attelage
disposé au sauvetage.
Ta ! Ta ! Ta ! Ta....
(Sortez l'harmonica.)
Arrivé au niveau de l''équipage,
notre fier héros aperçoit la donzelle,
affolée et criant toute sa détresse.
Zoin... Zoin... Zoin...
(Font les violons.)
Alors, le cow-boy prit son élan,
et d'un triple salto avant
saute sur le premier canasson du char à bancs.
Domm ! Domm. !
(Ça, c'est la grosse caisse)
Il serre de toutes ses forces les brides
à s'en faire péter les deltoïdes,
stoppant, ainsi net, la course folle des étalons.
Dong ! Dong !
(Deux notes de contrebasse)
Toutefois bien que sauvée,
mademoiselle continue de hurler.
Mais hurler est un bien vain mot.
Beugler serait plus approprié.
(Là, la musique de fond est couverte par les cris)
Alors notre homme décontenancé,
saisit son colt six coups, et d'une seule balle,
car nul besoin de gaspiller, abattit l'animal.
Franchement, gueuler ainsi n'est point permis.
(Défilement de la liste des acteurs....)
Loïc ROUSSELOT