Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Le printemps vient à pieds !!

lilasys

Maître Poète
#1
Le printemps vient à pieds!!

Quand fleurit la nature à nos pieds nos ramures
Répand plein de couleurs sur la froideur des tombes
Il pose son pollen sur restes d'engelures
Et s'évapore quand gémit l'âme des ombres


Il respire au soleil, grandi par les saisons
S'envole par grand vent les pétales posées
Mais comme un fier soldat, il gagne ses galons
Couronnant la tête de fleurs et de pensées


Le câlin de ses vers invite sur sa page
A l'encre du pistil dessine sainte flore
L'hirondelle sourit récitant son voyage
Et quand l'amour roucoule un cœur renaît encore


Le printemps avertit les arbres au repos
Redresse leur fierté, bat le givre restant
Tout piaule ou tout crie on sonne les grelots
Adieu Monsieur hiver et son lourd manteau blanc


Un bouquet nous parfume aux senteurs d' ambroisie
Ivresse jour et nuit d'un ver que l'on oublie ....


LILASYS ..



A mon frère déjà 4 ans
Le temps passe, les souvenirs restent


 
Dernière édition:

Vega46

Maître Poète
#3
Le printemps est une renaissance !.

Les souvenirs ancrés au plus profond de ta mémoire font jaillir une gerbe d’amour printanière fraternelle, que le père temps ne pourra ni ne saura jamais effacer.

Je t’embrasse chère Lola
Momo
MLCCACTP
 
Dernière édition:

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#7
Juste pour distraire en ces moments de confinnement

Ton printemps divertit.
(D’après Le printemps vient à pieds ! de Lilasys)

Quand jaunit ma stature à mes pieds de vers,
Semant plein de couleurs dans la douceur colombe,
Je dépose mon haleine et reste de travers,
Et j'élabore et blêmis quand la dame tombe.


J’aspire au sommeil, agrandis de passion,
Je vole sur le vent des dédales proposés,
Mais comme un piètre soldat, j’en perds mes notions
Détournant la fête de cette fleur en pensées.


Le malin pervers s’invite sur ta page,
Il ancre son outil et bassine son folklore,
La demoiselle sourit débitant son bagage,
Quand l'humour découle d’un cœur bicolore.


Ton printemps divertit des sabres sans repos,
Adresse mon absurdité, combat le livre pestant,
Tout piaf s’écrie quand résonnent mes bibelots,
Odieux copieur du vers en son gourd gâteau franc.


Le mousquet sans agrume est lenteur d'inepties,
L’ivresse qui me suit, d'un vers que j’anoblis.
 
Dernière édition:

lilasys

Maître Poète
#8
Le printemps est une renaissance !.

Les souvenirs ancrés au plus profond de ta mémoire font jaillir une gerbe d’amour printanière fraternelle, que le père temps ne pourra ni ne saura jamais effacer.

Je t’embrasse chère Lola
Momo
MLCCACTP
Merci Momo , je me dis seulement que je ne le reverrais jamais plus !!!
Bisous
 

lilasys

Maître Poète
#11
Très joli poème plein de douceur dans tes mots
Merci Lola pour ce doux partage
Bel hommage à ton frère
Bisous Lola et prends soin de toi
Merci Barbara pour ton gentil commentaire , il y a peu de mots pour définir la douleur d'un départ !!! Mais c'est ainsi ! ceux qui restent dans ce grand vide doivent prendre le temps d'accepter la mort .
Bisous Barbara
 

lilasys

Maître Poète
#12
Juste pour distraire en ces moments de confinnement

Ton printemps divertit.
(D’après Le printemps vient à pieds ! de Lilasys)

Quand jaunit ma stature à mes pieds de vers,
Semant plein de couleurs dans la douceur colombe,
Je dépose mon haleine et reste de travers,
Et j'élabore et blêmis quand la dame tombe.


J’aspire au sommeil, agrandis de passion,
Je vole sur le vent les dédales proposés,
Mais comme un piètre soldat, j’en perds mes notions
Détournant la fête de cette fleur en pensées.


Le malin pervers s’invite sur ta page,
Il ancre son outil et bassine son folklore,
La demoiselle sourit débitant son bagage,
Quand l'humour découle d’un cœur bicolore.


Ton printemps divertit des sabres sans repos,
Adresse mon absurdité, combat le livre pestant,
Tout piaf s’écrie quand résonnent mes bibelots,
Odieux copieur du vers en son gourd gâteau franc.


Le mousquet sans agrume est lenteur d'inepties,
L’ivresse qui me suit, d'un vers que j’anoblis.
Merci luron pour ce pastiche pile poil ...Il ne faut jamais cesser de rire car la vie est trop courte pour se lamenter !!!
Il me reste encore assez de malades autour de moi pour savoir que demain est un autre jour ,une autre nouvelle et puis :oops:
Bisous Luron