Une fois n’est pas coutume
L’histoire que je vais vous narrer
Prend par la pointe de ma plume
Une vie magique et empruntée
Accordez un peu de votre temps
Pour lire ces lignes sans façons
Voici la belle aventure d’un enfant
Dans sa chambre de petit garçon
Le placard réservé à ses jouets
N’avait de rien d’ordinaire
Puisqu’ après chaque veillée
S’animaient toutes ses affaires
Quelle ne fut toute sa surprise
De surprendre une conversation
Entre Teddy et la souris grise
Sa peluche et l’un de ses pions
Et alors ses yeux de s’émerveiller
Sous le bal improvisé de ses billes
Décrivant des cercles déjantés
Dans les recoins de son lit
Que dire des chants de sirènes
De ses grands camions de pompier
Qui le retenaient tant en haleine
Lui qui les savaient pourtant cassés
Nul ne pouvait décrire le doux manège
Enjoué des petits soldats de plomb
Qui tambourinaient leurs solfèges
Sous un petit chapiteau de chiffon
Le galop sourd de ses chevaux
Figurines en pâte à modeler
Grondaient le sol de leurs sabots
A s’y méprendre à un grand défilé
Le charme s’estompe au placard
De la lumière git dans le couloir
Maman veille bien tous les soirs
A ce qu’il ne joue pas trop tard
L’histoire que je vais vous narrer
Prend par la pointe de ma plume
Une vie magique et empruntée
Accordez un peu de votre temps
Pour lire ces lignes sans façons
Voici la belle aventure d’un enfant
Dans sa chambre de petit garçon
Le placard réservé à ses jouets
N’avait de rien d’ordinaire
Puisqu’ après chaque veillée
S’animaient toutes ses affaires
Quelle ne fut toute sa surprise
De surprendre une conversation
Entre Teddy et la souris grise
Sa peluche et l’un de ses pions
Et alors ses yeux de s’émerveiller
Sous le bal improvisé de ses billes
Décrivant des cercles déjantés
Dans les recoins de son lit
Que dire des chants de sirènes
De ses grands camions de pompier
Qui le retenaient tant en haleine
Lui qui les savaient pourtant cassés
Nul ne pouvait décrire le doux manège
Enjoué des petits soldats de plomb
Qui tambourinaient leurs solfèges
Sous un petit chapiteau de chiffon
Le galop sourd de ses chevaux
Figurines en pâte à modeler
Grondaient le sol de leurs sabots
A s’y méprendre à un grand défilé
Le charme s’estompe au placard
De la lumière git dans le couloir
Maman veille bien tous les soirs
A ce qu’il ne joue pas trop tard