Le nez dans le ruisseau
Il y a les matins, devrais je dire l'aube ?
Trempés de chagrins par les un par les autres,
Et de sa beauté, de sa belle robe,
Il devrait naître bien plus que du nôtre,
Demain crucifie, le dernier apôtre,
Comme larmes au chevet d'un mourant,
Et il ne reste rien, qui puisse être vôtre,
Si ce n'est l'envie d'aller encore devant,
Les édiles ont parlés, nos horizons bafoués,
Ou quand même la mort n'est plus respectée,
Il faudrait des fortunes, sommes inavouées,
Pour eux rendre la grâce, nous mourons affamés,
Je suis tombé par terre, c'est la faute à voltaire,
Le nez dans le ruisseau, c'est la faute à Rousseau,
Je ne suis pas notaire, c'est la faute à Voltaire,
Je suis petit oiseau, c'est la faute à rousseau.
Il y a les matins, devrais je dire l'aube ?
Trempés de chagrins par les un par les autres,
Et de sa beauté, de sa belle robe,
Il devrait naître bien plus que du nôtre,
Demain crucifie, le dernier apôtre,
Comme larmes au chevet d'un mourant,
Et il ne reste rien, qui puisse être vôtre,
Si ce n'est l'envie d'aller encore devant,
Les édiles ont parlés, nos horizons bafoués,
Ou quand même la mort n'est plus respectée,
Il faudrait des fortunes, sommes inavouées,
Pour eux rendre la grâce, nous mourons affamés,
Je suis tombé par terre, c'est la faute à voltaire,
Le nez dans le ruisseau, c'est la faute à Rousseau,
Je ne suis pas notaire, c'est la faute à Voltaire,
Je suis petit oiseau, c'est la faute à rousseau.
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