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Le malfrat passionné

#1
Voilà c’est bien cela, déjà me revoilà Prêt à vous conter à votre près Le cela qui me touche engendré par ces ceux là Là ces vauriens de méfaits jamais lassés Pourvus de peinture ils ont dépourvu Le blanchi des murs, devenus pour certains laids Sur toute la grande façade qui n’est certes pas vue Mais attirée par l’imprévu la foule sage s’est retirée A pas feutrés vers un tout nouvel appât La police je pense ne put en rester là Serra le malfrat qui vif et bref se desserra Des policiers qu’il osa traiter de grands dadais On le rattrapa le lendemain nous dit ‘on Prés de la grande rue de la maison de prêt - Ton méfait sur cette bâtisse, c’est toi dit t’on - Ces fresques sont de toi ? Suffit c’est assez ! Jugé en hiver, tous ces arguments déjugés -je voulais faire la ville belle, la peindre vous dis je - Lassé de sa morosité je me suis délassé -Pour décrire toute la nature et bien la dépeindre - Voyez-vous! Je ne suis pas du tout un dévoyé - Floue mon l’image , c’est sûr elle se renfloue - Gage d’un amour à la peinture qui admirée se dégage - Sous mon air de malfrat qui ne gagne le malotru sous Démarche pour le bonheur d’autrui je marche Heureux de rendre tous ces gens bienheureux Rage de mon statut toujours souillé sous l’arche j’enrage Où Malheureux je suis pour tous ces quidams un pou Sommé d’effacer mon œuvre je suis assommé Regard des publicités effrayantes j’ai l’air ringard Ma peur et ma désolation pleuraient mon œuvre apeurée Les cils dégoulinants sur la face d’un mur ce ne fut pas facile. ☼ƑƇ