La réalité c’est que :
Certaines pages sont difficiles à tourner
Et certains livres nous font revivre les mêmes histoires...
Lorsque la plume jète enfin l’encre, serait-ce pour marquer toujours de la même écriture, la feuille encore blanche ?
Y a-t-il un pont entre les lettres minuscules, et celles dîtes majuscules?
J’entends de cette oreille qu’une phrase commence par cette grande lettre mais je ne l’ai pas forcément terminée par un point.
Revenir en arrière serait comme réinventer le sens premier de la phase et oublier ce qu’il a signifié à un moment donné de la vie ...
Oui..certaines pages sont difficiles à tourner
Et certains livres nous font revivre les mêmes histoires
On manque souvent des détails , des accents à mettre , par ici , par là.
Avoir la gomme pour effacer ne veut pas dire qu’il n’y aura aucune trace.
Les tâches restent. Alors, on barre les mots et on réécrit une histoire qui reflètera mieux sa pensée..
On aura pris le temps de lire et relire cette histoire, on s’y sera attaché.., comme si elle était une partie de nous. Secrètement. Comme si elle disait tout haut ce que le lecteur pensait si bas.
Les murmures se voyaient entre les lignes,encore fallait-il vouloir y prêter attention...
L’histoire terminée, les pages sont tournées.
Au final, rien ne sert de vouloir changer de fin en tournant la page, il vaut mieux changer de livres.
Certaines pages sont difficiles à tourner
Et certains livres nous font revivre les mêmes histoires...
Lorsque la plume jète enfin l’encre, serait-ce pour marquer toujours de la même écriture, la feuille encore blanche ?
Y a-t-il un pont entre les lettres minuscules, et celles dîtes majuscules?
J’entends de cette oreille qu’une phrase commence par cette grande lettre mais je ne l’ai pas forcément terminée par un point.
Revenir en arrière serait comme réinventer le sens premier de la phase et oublier ce qu’il a signifié à un moment donné de la vie ...
Oui..certaines pages sont difficiles à tourner
Et certains livres nous font revivre les mêmes histoires
On manque souvent des détails , des accents à mettre , par ici , par là.
Avoir la gomme pour effacer ne veut pas dire qu’il n’y aura aucune trace.
Les tâches restent. Alors, on barre les mots et on réécrit une histoire qui reflètera mieux sa pensée..
On aura pris le temps de lire et relire cette histoire, on s’y sera attaché.., comme si elle était une partie de nous. Secrètement. Comme si elle disait tout haut ce que le lecteur pensait si bas.
Les murmures se voyaient entre les lignes,encore fallait-il vouloir y prêter attention...
L’histoire terminée, les pages sont tournées.
Au final, rien ne sert de vouloir changer de fin en tournant la page, il vaut mieux changer de livres.
