Le grand débat des petits dans bas.
Pour le grand débat, les petits dans bas.
Ont peu de choses à vous dire,
Que soit enfin décent leur pouvoir d’achat,
Pour leur donner un peu de sourire.
Que soit sifflé enfin la fin des privilèges,
En divisant par deux le nombre d’élu,
Des indemnités sur notre compte en florilège
Et se croient toujours d’un pouvoir absolu.
Incompétents, ils n’écoutent que les lobbies,
Ne votent qu’en injonction de leur faction,
Pour nous imposer toutes leurs inepties,
Et usurpent au-delà de leurs fonctions.
Que les hauts fonctionnaires sans productivité,
Soient rabaissés à leur juste niveau,
Car certains ont peu où aucune activité,
Pour eux, le mérite doit être le caniveau.
Nous voulons simplement une vie simple sans sursaut,
Où le salaire décent le plus bas permet d’éviter les remous
Sans être inférieur au vingtième de celui du plus haut,
Sans avoir des subventions prisent sur l’agent de tous.
Nous voulons simplement qu’après une vie de labeur,
Nos retraites soient indexées sur le coup de la vie,
Que tous les jours finissant soient enfin un bonheur,
Cela serait enfin à vous donner les honneurs d’envies.
Pas de questions diverses au premier plan,
Se mélangeant encore aux idées principales,
Des faits facilement résolus d’un simple raisonnement,
Répartissez les richesses de notre pays en un geste amical.
Cet atout principal conclurait ce grand dans bas,
Renforcerait l’égalité, la fraternité de notre pays de liberté,
De haut, ne snobez pas ceux qui crient ici bas,
Leur désespoir en unissant leurs voix accidentée.
Pour le grand débat, les petits dans bas.
Pour le grand débat, les petits dans bas.
Ont peu de choses à vous dire,
Que soit enfin décent leur pouvoir d’achat,
Pour leur donner un peu de sourire.
Que soit sifflé enfin la fin des privilèges,
En divisant par deux le nombre d’élu,
Des indemnités sur notre compte en florilège
Et se croient toujours d’un pouvoir absolu.
Incompétents, ils n’écoutent que les lobbies,
Ne votent qu’en injonction de leur faction,
Pour nous imposer toutes leurs inepties,
Et usurpent au-delà de leurs fonctions.
Que les hauts fonctionnaires sans productivité,
Soient rabaissés à leur juste niveau,
Car certains ont peu où aucune activité,
Pour eux, le mérite doit être le caniveau.
Nous voulons simplement une vie simple sans sursaut,
Où le salaire décent le plus bas permet d’éviter les remous
Sans être inférieur au vingtième de celui du plus haut,
Sans avoir des subventions prisent sur l’agent de tous.
Nous voulons simplement qu’après une vie de labeur,
Nos retraites soient indexées sur le coup de la vie,
Que tous les jours finissant soient enfin un bonheur,
Cela serait enfin à vous donner les honneurs d’envies.
Pas de questions diverses au premier plan,
Se mélangeant encore aux idées principales,
Des faits facilement résolus d’un simple raisonnement,
Répartissez les richesses de notre pays en un geste amical.
Cet atout principal conclurait ce grand dans bas,
Renforcerait l’égalité, la fraternité de notre pays de liberté,
De haut, ne snobez pas ceux qui crient ici bas,
Leur désespoir en unissant leurs voix accidentée.
Pour le grand débat, les petits dans bas.
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