Quand l’orage fit silence
Après l’acte d’amour
Sans se faire violence
Naquit un nouveau jour
Pénétrant la fenêtre
Un faisceau de soleil
Illumina ton être
Entamant doux sommeil
Mes paupières de flanelle
De toi émerveillées
Brillaient dans la prunelle
De ta vue étoilée
Par tendres heures passées
Au fond de nos abîmes
Puis sur soie damassée
Pour atteindre les cimes
Ô toi mon infinie passion
Entends-tu ma requête
Aux mille idéations
Dont nulle n’est désuète
Veux-tu de moi pour homme
Et à jamais amant
Ne croquant qu’à ta pomme
Cela j’en fais le serment…
Après l’acte d’amour
Sans se faire violence
Naquit un nouveau jour
Pénétrant la fenêtre
Un faisceau de soleil
Illumina ton être
Entamant doux sommeil
Mes paupières de flanelle
De toi émerveillées
Brillaient dans la prunelle
De ta vue étoilée
Par tendres heures passées
Au fond de nos abîmes
Puis sur soie damassée
Pour atteindre les cimes
Ô toi mon infinie passion
Entends-tu ma requête
Aux mille idéations
Dont nulle n’est désuète
Veux-tu de moi pour homme
Et à jamais amant
Ne croquant qu’à ta pomme
Cela j’en fais le serment…