Le corps sage.
Sans cesse par le soir dans la beauté clémente
De tes bras enlacés saurai toujours mourir,
Le sente de ton cœur lui seul pourrait m'ouvrir
Son sensuel destin ô ma sublime amante ;
D'un mot qu'à trop savoir l'échéance démente,
De fondre sur l'étain, de votre peau courir,
Je m'y suis corrompu de penser s'entrouvrir
Votre corsage fin de couleur amarante ;
Du crédit d'espérer ce reflet ou le son
De ses légers tissus, révise ma leçon
Du connaître l'amour de votre paysage
Demain, j'écouterai le crépuscule lent
De l'arômes de vous et peut-être l'élan
Du baiser d'un délit sur votre corps trop sage...
Daniel beau le poète rêveur
10 avril 2021
Inknotpad
Google Chrome
09:30
Sans cesse par le soir dans la beauté clémente
De tes bras enlacés saurai toujours mourir,
Le sente de ton cœur lui seul pourrait m'ouvrir
Son sensuel destin ô ma sublime amante ;
D'un mot qu'à trop savoir l'échéance démente,
De fondre sur l'étain, de votre peau courir,
Je m'y suis corrompu de penser s'entrouvrir
Votre corsage fin de couleur amarante ;
Du crédit d'espérer ce reflet ou le son
De ses légers tissus, révise ma leçon
Du connaître l'amour de votre paysage
Demain, j'écouterai le crépuscule lent
De l'arômes de vous et peut-être l'élan
Du baiser d'un délit sur votre corps trop sage...
Daniel beau le poète rêveur
10 avril 2021
Inknotpad
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09:30