Mon intérieur hurle sa peau , prudemment, gouluement ,
pour le mérite sage pour l Avenir;, pour assouvir, sagement ,
quand il se pame dans mes bras , ardemment,
,
le choir comme une caresse sur son rein cambré
souligné son dos , sous mes doigts pointus ,
quand ma dent en pointe de ma bouche enfièvrée
quand il me prends comme une canine chaleureuse,
sous le duvet qui me ressort de l"epiderme
je ne cesse de d'un cri , si intense et hurleuse
comme une louve-garou, je me terre , enlacée
prés d'un havre de paix, le temps d'un soir
quand l'e manant revient , pour m'énamouré
doucement , lentement , les mains en pointes
sous une lune blonde, la bouche ouverte au ciel ,
le cheveux blanc , qui reviens,, , je songe en plainte .
le souffle fort, dont la salive ressort plus forte
pour toucher sa bouche , ses lèvres encore
le couvrir de baisers dont la langue se porte .
fièvre qui m'emporte dont mon corps de louve demande,
pour celui qui arrive , le seul qui a ouvert la porte,
la chaine ne se resserre pas , sans commande
comme la louve garou qui en reveut, en émoi
sur la peau d'une bête asséchée sur le sol ,
la tete, chevelue pour hurler sa chose , en moi.
de voyage en voyage, je reviens , corps en demande
plus qu'avant , la lune remonte
les pointes de la dent bougeant sur commande
le corps poilu sous la brise, pour Mon Manant,
sous la capeline qui m'entoure ,
lles lèvres et la bouche s'allongeant , pour le moment
l antre en besoin , pour sa chose
pour un soir quand il es pareil en garou
il peine sa vie ,entrant dans ma ferme close
quand la peau de la louve garou de moi
awhouuuuuaaaaaaaaa
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