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Le contrat!!!

lilasys

Maître Poète
#1
Le contrat !!!

Naître une fois dans ce lieu qui se dit terre
Sans en connaitre la route, le trousseau
Ces clefs manipulées, tatouées d'un sceau
Ce qui fait d'une vie un bijou ou de pierres

Ces marches imposées qui mènent au ciel
Où celles qui traînent en vieilles guenilles
Ô richesse n'a assez de yeux qui brillent
Hypocrite pensée entre faim et doux miel

Le champagne coule en fontaine de jouvence
Où est l'eau potable pour les bouches scotchées
La justice serre les mains et déterre Guevara le Ché
Quand caviar, truffes, homard m'a tué la danse

Les mains nues naufragées de notre folle résistance
Enracinés au plus profond de nos veines empoisonnées
Ces jours où mourir de lassitude nous est donné
Invisibles à l’œil d'une société en pleine déchéance

On écrit, on dessine pour les aveugles les vérités
Un lâché de Labradors suffira-t'il à creuser leur cerveau?
Le monde est moins monde et crie l'horreur des maux
Le chacun pour soi tue le contrat de la vie à l'escalier.....

LILASYS


 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#2
Le constat ! (D’après Le contrat de lilasys)

Renaître cent fois par le vieux qui s’affaire,
Pour reconnaître tes doutes, tes râteaux,
Ces chefs manucurés, adoubés d'un sot,
Ce qui ne fait qu’envie d’un bisou où de chaire.


Ces arches déposées qui peinent de fiel,
C’elles qu’entraînent des belles et jeunes filles,
Ho ! Tristesse, tu n'as pas de vieux qui scintillent,
Histoire écrite récompensée sur la fin de ton oriel.


En chant et pagne roucoule la chaîne de Provence,
Où le haut notable par les douches affichées,
Rend justice, dessert les lendemains et se terre, caché,
Quand le viandard tartuffe se marre en contredanse.


Les malins venus arrangés en une colle insistance,
Déracinés des plus profondes peines emprisonnées,
Séjour où sourire de plénitude nous est abandonné,
Divisible fleur d'une activité en recherche d’échéance.


On décrit, on bassine pour les sourds nos affectivités,
Sans lâcher de nos bras l’or, suffira-t-il à percer ces blaireaux ?
La ronde est moins immonde et s’écrit en l’honneur des mots,

Le tout pour un institut le constat de l’envie d’accoster.....
 
Dernière édition:

lilasys

Maître Poète
#3
Le constat ! (D’après Le contrat de lilasys)

Renaître cent fois par le vieux qui s’affaire,
Pour reconnaître tes doutes, tes râteaux,
Ces chefs manucurés, adoubés d'un sot,
Ce qui ne fait qu’envie d’un bisou où de chaire.


Ces arches déposées qui peinent de fiel,
C’elles qu’entraînent des belles et jeunes filles,
Ho ! Tristesse, tu n'as pas de vieux qui scintillent,
Histoire écrite récompensée sur la fin de ton oriel.


En chant et pagne roucoule la chaîne de Provence,
Où le haut notable par les douches affichées,
Rend justice, dessert les lendemains et se terre, caché,
Quand le viandard tartuffe se marre en contredanse.


Les malins venus arrangés en une colle insistance,
Déracinés des plus profondes peines emprisonnées,
Séjour où sourire de plénitude nous est abandonné,
Divisible fleur d'une activité en recherche d’échéance.


On décrit, on bassine pour les sourds nos affectivités,
Sans lâcher de nos bras l’or, suffira-t-il à percer ces blaireaux ?
La ronde est moins immonde et s’écrit en l’honneur des mots,

Le tout pour un institut le constat de l’envie d’accoster.....
Le contrat de la naissance sans en connaître la durée !!!! Merci Luron bisou à la famille