Le Compteur au pied d'Estran
Au porte du silence,
Je rencontre un ami,
Contant la décadence,
Mes pieds en hérésie.
Ne comptant pas comme lui
À chaqu'fois, ça va pas,
Pourtant elle est vernis,
Mais il manque l'apparat,
À cloche pieds, je suis,
Le compteur au pied prés ,
Ce diamant non poli,
Il en veut sa Beauté.
J'essaie donc de lui plaire
Mais il y en a de trop
Je ne sais plus quoi faire
Pour me hisser plus haut
Mais il a eu du flair,
La chance et les envies,
En pouvant changer d'air,
Des pieds en hérésie.
Dans une jupe légère,
Il voit les mots danser,
Parfois ils exagèrent,
Pour bien mieux s'apprécier.
Et qu'importe les pieds,
Si l'on touche le ciel,
Et qu'ils nous font rêver,
Loin du superficiel.
Et qu'importe le ciel,
Dans la réalité,
Si nous avons le miel,
Une part de vérité.
Phoeube, Matthale ©(21/05/2018)
Au porte du silence,
Je rencontre un ami,
Contant la décadence,
Mes pieds en hérésie.
Ne comptant pas comme lui
À chaqu'fois, ça va pas,
Pourtant elle est vernis,
Mais il manque l'apparat,
À cloche pieds, je suis,
Le compteur au pied prés ,
Ce diamant non poli,
Il en veut sa Beauté.
J'essaie donc de lui plaire
Mais il y en a de trop
Je ne sais plus quoi faire
Pour me hisser plus haut
Mais il a eu du flair,
La chance et les envies,
En pouvant changer d'air,
Des pieds en hérésie.
Dans une jupe légère,
Il voit les mots danser,
Parfois ils exagèrent,
Pour bien mieux s'apprécier.
Et qu'importe les pieds,
Si l'on touche le ciel,
Et qu'ils nous font rêver,
Loin du superficiel.
Et qu'importe le ciel,
Dans la réalité,
Si nous avons le miel,
Une part de vérité.
Phoeube, Matthale ©(21/05/2018)