Le cœur en feu
Sous chacune de tes caresses
Je voudrai m’endormir
Dans mes rêves
Sous chacune de tes promesses
Un remède à mes douleurs,
La seule chose
Que je veuille toucher,
Donnant le rythme
Dans l’espace des hymnes de tes bras,
Des notes
Qui font chanter nos cœurs,
Aux portes du festin du bonheur
Sans rien qui nous retient,
Là où sommeil la douceur ardente
Des ailes de tes lèvres.
Je n'ai jamais su
Que cela pouvait signifier autant,
Parsemant sur ma peau tes brûlures
Des frissons de tes vagues,
Le graal envahissant tes lèvres
Où s’élèvent les nuits,
Les embruns sans fin
Des mots d innocences distillés du paradis,
Soufflant encore
Sur les branches chaudes.
Scellent le feu de nos cœurs,
Je voudrai m’endormir dans tes rêves,
Comme le jour qui se lève
Caressant tes sourires,
Attendant que tu me prennes
Tout contre ton toi
Oublier le temps
Même si demain, tu devais m’oublier.
Tu es le remède à mes douleurs
Quand tu mélanges tes lèvres à mes rêves
Éclairant les chemins de ton cœur
Sur la peau nue
Le long des courbes éclairées,
Des « je t’aime » Qui se meurent
Comme un enfant enchaîné à tes bras,
Déchaînant les paroles nues
De tes mains contre ma peau,
Je ne serai jamais très loin de toi
Tout au fond de mon cœur
Côtoyant la folie des anges
Des gestes insoumis à en mourir
L.Deléglise
Sous chacune de tes caresses
Je voudrai m’endormir
Dans mes rêves
Sous chacune de tes promesses
Un remède à mes douleurs,
La seule chose
Que je veuille toucher,
Donnant le rythme
Dans l’espace des hymnes de tes bras,
Des notes
Qui font chanter nos cœurs,
Aux portes du festin du bonheur
Sans rien qui nous retient,
Là où sommeil la douceur ardente
Des ailes de tes lèvres.
Je n'ai jamais su
Que cela pouvait signifier autant,
Parsemant sur ma peau tes brûlures
Des frissons de tes vagues,
Le graal envahissant tes lèvres
Où s’élèvent les nuits,
Les embruns sans fin
Des mots d innocences distillés du paradis,
Soufflant encore
Sur les branches chaudes.
Scellent le feu de nos cœurs,
Je voudrai m’endormir dans tes rêves,
Comme le jour qui se lève
Caressant tes sourires,
Attendant que tu me prennes
Tout contre ton toi
Oublier le temps
Même si demain, tu devais m’oublier.
Tu es le remède à mes douleurs
Quand tu mélanges tes lèvres à mes rêves
Éclairant les chemins de ton cœur
Sur la peau nue
Le long des courbes éclairées,
Des « je t’aime » Qui se meurent
Comme un enfant enchaîné à tes bras,
Déchaînant les paroles nues
De tes mains contre ma peau,
Je ne serai jamais très loin de toi
Tout au fond de mon cœur
Côtoyant la folie des anges
Des gestes insoumis à en mourir
L.Deléglise